1. Monstrueuse - Ténèbres


    Datte: 29/12/2017, Catégories: fh, poilu(e)s, Oral pénétratio, fsodo, policier,

    ... lointain ? Ma mère qui jouait les moulins à vent. Elle avait fait irruption dans ma chambre, survoltée. Un petit coup de baguette magique et je me suis retrouvé tout d’un coup dans le bureau, au téléphone. — Allo, mon amour.— Allo…— Oh, toi, ça n’a pas l’air d’aller très fort. Essaie de te tranquilliser un peu. Pense à moi. Nous allons discuter de tout ça tout à l’heure… Je te téléphone parce que je serai un tout petit peu en retard pour cause « d’enveloppes à plier ». Je prendrai le bus qui arrive vers 22h20.— Oui…— Je suis désolée mon cœur, mais je dois vraiment te laisser, je sais que ce n’est pas évident pour toi. Mais patiente encore une toute petite heure. Pense que je t’aime très très fort, que tout mon amour est pour toi et que je serai pour toujours avec toi. Allez, ça urge, j’y vais, à tout à l’heure. « Elle m’aime très très fort ». Mais comment peut-elle aimer quelqu’un comme moi ? D’un autre côté, je n’avais pas le droit de lui faire faux bond une fois de plus, je n’avais plus le droit d’être lâche. Et puis, tant pis pour moi, mieux valait en finir tout de suite, quitte à lui montrer à quel point j’étais pitoyable. — Entre vite, il fait froid. Je suis arrivée un peu plus tôt car j’ai boosté pour les enveloppes… Le radiateur est nase.— …— Et si l’on allait tout de suite sous la couette, histoire de nous réchauffer. En deux temps, trois mouvements, elle se retrouva nue et se glissa sous les draps. À peine avais-je eu l’occasion de jeter un œil à son corps… Néanmoins ...
    ... le petit changement n’avait pas échappé à ma vigilance. — Je me suis épilée au niveau des seins et sur le ventre. J’aurais bien fait les aisselles mais j’étais déjà une plaie ouverte. J’ai vraiment dégusté, je n’ai pas l’habitude de ce genre de truc et je trouve que ça fait vraiment mal cette chose. Il paraît qu’il faut souffrir pour être belle, mais moi il faudrait que je finisse ma vie en enfer… T’inquiètes, je ne vais pas faire tout le corps. Mais demain matin, si l’on a le temps, j’aimerais que tu t’occupes de mon dos. Je mis un peu plus de temps à la rejoindre dans le lit. Nous étions nus tous les deux, serrés l’un contre l’autre, dans notre chaleur animale, nos têtes émergeant à peine de la couette. — J’ai honte de moi, je n’aurais jamais dû prendre mes jambes à mon cou tout à l’heure.— Bof, t’as paniqué, c’est vraiment pas grave.— Si c’est grave, c’est grave que je te laisse tomber comme ça. Je m’en veux vraiment.— Mais tu ne m’as pas laissée tomber, tu as juste eu un instant de panique. Je te jure, à ta place, j’aurais fait pareil, des choses comme ça c’est incontrôlable, l’essentiel c’est de corriger le tir juste après.— Ben quand même !— Allez, oublie ça… J’adore ta chaleur.— Profites-en, si ça se trouve, je vis mes derniers instants de liberté.— Pfff, arrête de te prendre la tête comme ça. Ce gars là, c’était juste un clodo, et il n’a même pas pris la peine de se baisser ou alors, s’il l’a fait, c’est juste l’espace d’un instant. Je te jure, il n’y a aucun risque, ...
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