1. Monstrueuse - Ténèbres


    Datte: 29/12/2017, Catégories: fh, poilu(e)s, Oral pénétratio, fsodo, policier,

    ... les cars de CRS ne sont pas en train de cerner la maison.— Mais…— Aies confiance en moi. Si je te dis qu’il n’y a aucun risque, c’est qu’il n’y a aucun risque. J’en suis sure à 99%. Et le petit pour cent restant… Et bien on ne peut pas vivre avec la trouille des probabilités infimes, de même qu’il vaut mieux éviter de croire que l’on va gagner au loto. Principe de réalité, je suis vachement terre à terre, t’avais pas remarqué ? Quelque part elle avait raison, mais ma démarche était plus celle de la culpabilité. Et, en tant que coupable, il me faudrait un jour payer. — Par contre la probabilité que j’ai tué un mec est beaucoup plus importante.— C’était peut-être une nana ?— Oui, pourquoi pas.— C’est quand même bizarre que tu ne connaisses pas le sexe de ta victime, non ?— Chez les amnésiques, tout est possible. La probabilité que je n’ai pas tué cette personne est de toute façon très faible car comment expliques-tu que je connaisse précisément le lieu où elle est ensevelie ?— Je ne sais pas, mais il y a plein de possibilités. Quelqu’un a peut-être tué cette personne et toi tu t’es chargé de dissimuler le corps pour protéger cet ami ou cet amour ! Ou mieux, c’est peut-être simplement une farce de lycéens : Des potes à toi ont piqué le squelette du lycée et l’ont enterré là en te faisant croire qu’ils l’avaient trucidé et toi, bonne poire, tu as fouillé la terre pour trouver le macchabée. Mais ça t’a tellement perturbé que tu en as oublié toute l’histoire… Dans un autre ...
    ... registre, imagine aussi que ton père soit un tueur en série, que tu tombes un jour sur un petit papier en fouillant dans sa veste, papier dans lequel il explique précisément où il a enterré une des filles qu’il a violées. Evidemment, tu ne peux pas le croire, tu ne veux pas le croire mais tu veux quand même t’en assurer. Mais, lorsque tu te rends sur les lieux, tu en ressors vraiment traumatisé… Tu vois, il y a vraiment plein de possibilités. Je pense que si tu avais vraiment tué cette personne tu n’aurais pas le souvenir d’un ensevelissement mais plutôt le vague souvenir d’un coup fatal.— En tout cas, si ce n’est pas moi, il y a forcément une tierce personne.— Bravo, on progresse ! Nous avons continué à discuter de longs moments sur le même sujet. Je faisais de longs monologues, je me torturais la tête, jusqu’à ce que je m’aperçoive qu’Annick venait de s’endormir. Elle ronronnait contre moi et ne semblait nullement perturbée par mes instincts meurtriers. Je l’ai embrassée très tendrement en essayant de trouver le sommeil. Je me suis réveillé au beau milieu de la nuit. Je sentais quelque chose entre mes cuisses. Une bouche gourmande était en train de me sucer. Annick était sous la couette, perdue au beau milieu du lit, en train de se délecter de ma bite. Comprenant que je venais d’émerger, elle laissa un instant mon gourdin : — J’ai envie de ta queue, j’ai envie que tu me baises Et elle reprit ses activités de plus belle, s’appliquant sans relâche à me sucer du mieux qu’elle put et ...
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