Madame de Baincourt
Datte: 06/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... quitta la pièce pendant qu’elle s’installait derrière moi, sur le lit. Je tremblais de tout mon être lorsque je sentis le bout de l’engin sur mes lèvres. Elle m’écarta les fesses et me pénétra lentement. Il me faisait mal et je hurlais de douleur. « Dans une minute, tu n’aura plus mal, » me dit elle. L’objet continua sa progression dans mes chairs. « Arrêtez, arrêtez, j’ai trop mal. » Elle s’arrêta t je sentis l’engin ressortir. Il revint à la charge. « Aïe, ça fait vraiment trop mal! » dis je sous la douleur. « Dommage, » dit elle, « je suis certaine que je pouvais aller plus loin en vous. Tant pis.» Elle se retira à nouveau. Je le désirais de toute mon âme, ce pénis de bois. Je voulais qui m’arrache les chairs. « Attendez, attendez, » dis je dans un râle. Je posais ma tête sur l’oreiller et écartais mes fesses de mes deux mains libres. « Revenez, je vous en pris. Je veux que vous me possédiez ». Je tremblais à nouveau lorsque l’engin me pénétra. Je sentis que dans cette position, le pénis d‘ébène aller plus loin. J’avais de nouveau mal, mais je ne dis rien. Je ne voulais pas qu’elle se retire pour toujours. A mon grand soulagement, je sentis son bas ventre sur mes fesses. L’objet était complètement en moi. « Attendes un peu Madame. Il faut que mes chairs s’y fassent. » Je sentis me chairs intimes s’adapter au pieu de bois. « C’est bon Madame, vous pouvez me posséder maintenant. » C’est alors que commença, lentement puis de plus en plus rapide, la plus belle baise de ma ...
... vie. Elle m’encourageait en me disant des mots cochons. « Ca te plait ma belle. » « Ho oui ». « pensais tu qu’un jour tu te ferais posséder par une femme. » « Non, non. Baisez moi plus fort. » « Tu es une vrai salope et tu aimes çà! » « … » « Je n’ai pas entendu. » « Je suis une salope.. » « Vrai… » « Je suis une vrai salope et j’aime çà . « Plus vite s’il vous plait, » lui dis je. Elle me baisa ainsi pendant bien quinze minute avant que je ne défaille. J’eus un puissant orgasme qui me laissa toute pantelante. A mon réveil, je retrouvais l’engin qui m’avait fait tant plaisir à côté de moi. Je le pris et l’observais longuement. Quel objet délicieux et qui va très bien à sa propriétaire. Il faisait jours. Je me rhabillais et quittais la pièce de débauche. Je me promis d’y revenir. Je ne peut faire mes hommages à Madame de Porterie. Elle était invitée à Versailles. Voilà, mon cher journal, c’est tout pour aujourd’hui. Je refermais le journal intime de Madame de Baincourt, livre que j’avais trouvé par hasard dans une brocante. Cette femme aurait pus être mon aïeul. Elle avait aimé le sexe comme moi je l’aime, à la fois dominatrice et soumise, avec les personnes qu’elle désirait homme ou femme. Je posais le livre sur le canapé. La lueur du jour faiblissait. Je pris une cerise dans le bol près de moi et la mangeais. J’en pris une deuxième que je gardais dans la bouche. Je pris alors la tête de Stéphanie entre mes mains et lui fis quitter la chaleur de mes cuisses. Je l’embrassais, lui ...