L'objet
Datte: 07/01/2018,
Catégories:
ffh,
hplusag,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
hgode,
hsodo,
init,
... proposa de me montrer sa maîtrise me précisant qu’elle n’habitait pas seule et que sa colocataire, vraisemblablement dans leur appartement à cette heure, serait très contente de voir l’objet. Je payais les consommations et nous volâmes, badinant comme si de rien n’était, de rue en rue jusqu’au nid de Sophie. Le nid de Sophie. Arrivés devant sa porte, elle me précéda dans l’escalier. Les six étages que nous montâmes ne firent pas retomber mon excitation tout au contraire… Je n’avais d’yeux que pour ses jambes, l’orée de ses cuisses, à tel point que je faillis à plusieurs reprises glisser dans l’escalier. La porte franchie, je fis aussitôt la connaissance d’Hélène sa colocataire juste vêtue d’une tunique chinoise et qui nous tendait à chacun un cocktail qu’elle avait préparé et qui sentait bon le gingembre. Aucun doute n’était permis. Avertie, elle nous attendait pour une rencontre dont l’objet n’était plus douteux. Pendant que Sophie allait prendre une douche et « se mettre à l’aise », je téléphonais aussi discrètement que possible à mon épouse pour lui dire que j’étais retenu par une réunion de travail qui se prolongerait après le repas et quand je revins dans la pièce principale je fus accueilli par un sourire entendu d’Hélène. Comme elle m’y invitait, je pris position sur le canapé et répondant à sa demande, je sortis les deux objets de mon sac. Hélène, jeune femme du même âge que Sophie, un peu moins grande mais tout aussi svelte, les prit à un à un dans ses mains, elle ...
... les effleura, les passa sur ses joues, sur ses lèvres… ponctuant ses caresses de « C’est vraiment très réaliste », « Un peu lourd », « Vraiment gros » et regrettant que ses objets d’étude soient moins distrayants que ceux de son amie – elle était en biologie. Puis Sophie, pareillement vêtue d’une tunique chinoise très échancrée, revînt et, comme si nous étions de vieux amis, se montra très contente de ce que nous avions fait connaissance. En fait de connaissance, je n’avais plus qu’une envie enlever ces tuniques et goûter les corps qu’elles renfermaient. Quand on me proposa d’aller moi-même prendre une douche pour chasser la chaleur de la journée, je m’empressais d’accepter. C’est ressemblant à Priappe que j’entrais dans la douche et mon excitation était telle que mon sexe ne déclina point… J’allais me rhabiller et sortir quand la porte s’entrouvrit. « Je peux entrer ? » dit une voix suivi de « j’ai oublié… » Ne me demandez pas ce qu’à ce moment Sophie prétexta d’avoir oublié. Toujours est-il qu’elle était devant moi la tunique ouverte qui ne dissimulait plus rien de son anatomie tandis que je me trouvais nu comme un ver offrant ma virilité tendue à son regard. Un ange passa – très rapidement il faut bien le dire – et comme par enchantement ses lèvres remplacèrent son regard tandis qu’Hélène tout aussi nue faisait son entrée dans la pièce… Nous étions déjà emmêlés quand la grande phrase de Sade me revînt à l’esprit « un peu d’ordre ! » Nous ne pouvions pas, lecteurs de tous les ...