1. L'objet


    Datte: 07/01/2018, Catégories: ffh, hplusag, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Oral 69, fdanus, fsodo, hdanus, hgode, hsodo, init,

    ... Hélène avait profité de la vue du traitement administré à Sophie, j’entrepris de la retourner et de la sodomiser à son tour. Comme Sophie, elle semblait ignorer encore cette pratique, ou du moins n’en avoir qu’une connaissance théorique, mais elle se montra bonne fille et releva ses fesses de façon à ce que je puisse la prendre facilement. C’est ainsi que remuant du cul, elle aspira mon sexe en quelques secondes et que je sentis le fond de ses entrailles. La scène sembla plaire à Sophie. Gentiment, elle déposa un doux baiser sur les lèvres de son amie, une fois de plus elle lui passa les godemichets sur les lèvres, et prit le plus gros pour l’introduire dans son vagin. Je faillis, pour ma part, hurler quand je sentis son contact au travers de la fine paroi et ressentis l’effet que cela produisait sur Hélène qui se mit alors à onduler telle une démente (ne dit-on pas possédée) les yeux exorbités… C’est alors que Sophie vint me rappeler à l’oreille ma propre consigne « tout oser ». Et comme je la regardais interrogatif elle me montra le gode anal qu’elle passa entre ses lèvres… Inutile de me faire un dessin, après sa récente caresse je savais ce dont elle avait envie et je n’eus d’autre choix que d’offrir mes fesses à son glaive pendant que j’enculais Hélène – soit une nouvelle fois la parabole de l’arroseur arrosé, bien qu’en l’occurrence le tuyau se montra bien moins pénétrant. Au reste, je dis cela maintenant ...
    ... mais sur le coup, bien que préparé par un peu de salive, je trouvais l’assaut bien rude, je sentis à mon tour mon anus se déchirer, j’eus l’impression que l’on me fendait en deux, je retombais lourdement dans le cul d’Hélène où je m’enfonçais pour éviter que l’on me pénétra plus avant. En vain j’étais foutu, pris, investi tout autant que j’étais aspiré. Quand on a perdu un combat, il faut savoir se rendre et ménager le vainqueur et comme j’avais vu les donzelles le faire, je mis aussi à onduler du cul. Quand j’éjaculais, je sentis un double serrement celui du sphinxter de ma partenaire et le mien propre autour de ce manche qui me perforait avant de connaître une sorte de double explosion de jouissance qui m’arracha un râle aussi profond que celui d’Hélène. Une petite mort plus loin, nous prîmes un verre. Les deux amies étaient devenues plus intimes, elles se caressaient, s’embrassaient, Sophie essuyait de sa langue deux petites larmes qui restaient aux yeux d’Hélène. J’aimais leurs seins collés, leurs tétons dressés. Je les regardais attendri et je fus comblé quand toutes les deux vinrent se blottir contre moi. Quelques heures et quelques accouplements plus tard, entrecoupés d’une longue réflexion sur le plaisir et la morale afin de respecter la tradition, il fallut partir. On se promit de se « revoir » et comme pour indiquer que je comptais bien revenir, je laissais mes deux objets… Hugoweb Paris, le 25 avril 2005 
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