1. Chaud week-end à Paris


    Datte: 07/01/2018, Catégories: fh, fffh, jeunes, Inceste / Tabou jardin, hotel, train, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, intermast, entreseins,

    ... photo ! J’en achèterais un, jetable, à la première boutique rencontrée. Et nous voilà repartis pour une longue marche, destination Montmartre. Il faisait bien chaud et il fallait grimper. Je voyais danser les seins des trois filles et me prenais à rêver que nous étions en des lieux où il me serait permis de les toucher, de les empaumer, de les embrasser ; mais nous devions marcher. Refusant le funiculaire nous prîmes l’escalier, les filles devant, se baissant un peu de temps en temps en sachant que ce qu’elles me montraient ainsi m’encouragerait à avancer plus vite. Et c’est vrai qu’elles avaient des fesses à vous rendre fou, c’est aussi vrai qu’elles le savaient, qu’elles en usaient, et qu’elles en abusaient avec moi, sachant que celles-ci avaient sur moi une force d’attraction à laquelle j’avais du mal à résister. Visite du Sacré-Cœur, puis direction les marches sur lesquelles une foule impressionnante avait pris place pour profiter de la vue sur Paris mais aussi pour s’exposer aux rayons du soleil. Trouvant des marches libres, les filles s’assirent. — Je vais faire des photos, leur dis-je. Quelques marches plus bas, je photographie l’Eglise puis, mes cousines devant celle-ci. Je constate qu’elles offrent la même vue que sur les marches de l’opéra, et qu’elles l’offrent à tous ceux qui le souhaitent. Je prends donc plusieurs photos, et je constate que plusieurs autres photographes paraissent s’intéresser davantage aux culottes de me cousines qu’à l’édifice devant lequel ...
    ... elles sont assises. Dissimulées derrière leurs lunettes noires, elles sont sûres de n’être reconnues par personne et s’en donnent donc à cœur joie. Montant à chaque fois une marche, ce qui m’amène à une vue en plus gros plan, je me rends compte que le fond de leur culotte s’est resserré pour glisser presque totalement entre leurs lèvres et que désormais, outre le blanc de la culotte et le noir de leurs poils, le rose de leurs lèvres est parfaitement visible. Je comprends donc l’intérêt des photographes dont certains, munis de téléobjectifs, n’ont eu nul besoin de s’approcher pour profiter du spectacle. Elles n’auraient pas osé préméditer ceci ? Leur attitude me prouva que si. Je continuai donc mes photos, prenant les trois ensemble puis un gros plan de chacune pour avoir un souvenir de ce week-end. Voyant ce qu’il m’intéressait de photographier, chacune, lorsque j’étais prêt à appuyer sur le déclic, écartait ostensiblement les genoux. Et les trois firent de même sans que je comprenne si elles s’étaient concertées ou si, comme souvent, elles avaient eu, toutes les trois la même idée. Belles photos que j’ai conservées, mais que les cousines ont souvent tenté de me voler pour les détruire se rendant compte qu’elles avaient été un peu loin dans l’exhibitionnisme. L’après-midi se passe en visite et promenades et le soir un peu fatigués par cette longue balade, nous décidons de prendre le métro pour nous rapprocher de l’hôtel. Il est bondé à cette heure-ci. Nous nous faufilons dans un ...
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