1. Chaud week-end à Paris


    Datte: 07/01/2018, Catégories: fh, fffh, jeunes, Inceste / Tabou jardin, hotel, train, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, intermast, entreseins,

    ... mouillé. Déjà les photographes de Montmartre m’avaient bien excitée. C’était extra, mon cousin, me dit-elle, me sautant au cou, attirant Martine et Evelyne dans une ronde que nous entreprîmes, enlacés, sautant, riant comme des enfants.— On va s’occuper de toi, me rassurèrent-elles. Arrivés à l’hôtel, je tombais sur un lit, sur le dos, épuisé, suçant mes doigts. — Regarde, me dirent-elles, retirant leur culotte et, ensemble les lançant sur mon visage. Quel bonheur, l’odeur mêlée des sécrétions de mes trois cousines sur mon nez ! J’en fermais les yeux pour mieux m’en enivrer. — Choisis en une, me demandèrent-elles, et sa propriétaire s’occupera de toi. Les yeux fermés, les doigts fouillant ces bouts de dentelle, mon nez humait, comparait et finit par m’en désigner une, celle de Martine. — Garde-là, et donne-moi les autres, me dit-elle. Elle ouvrit alors ma braguette, dégageant ce qui ne demandait qu’à s’élever. Lorsque je sentis qu’elle l’enveloppait des deux autres petites culottes, je crus exploser tout de suite. — On a remarqué que tu adorais te masturber dans nos petites culottes. On l’a constaté dans la corbeille. Je vais donc te masturber dans les culottes de Marie-France et Evelyne, me dit-elle. Et c’était vrai que j’adorais fouiller dans la corbeille et y trouver leurs petites culottes ! Et c’était vrai que je n’allais pas résister, et c’était vrai que, poussant un râle j’éjaculai rapidement dans ces culottes souillées. — Et alors, mon cousin, tu n’as guère de ...
    ... résistance, ajouta-t-elle, continuant de la main, après m’avoir bien essuyé avec leurs dentelles.— Allez, les filles, il faut le réveiller. En jupe, mais sans culotte, elles firent ce que j’adorais, l’une après l’autre vint poser son sexe sur mon visage. Je savais que je n’avais pas le droit de lécher mais je me permettais tout de même une petite intrusion qu’elles feignaient d’ignorer. Poursuivant ses caresses, Martine ôta son chemisier, son soutien-gorge et s’allongea sur mes jambes, saisissant ma verge entre ses seins. Si ce traitement se poursuivait, il était évident que j’allais vers une nouvelle extase. Je lui demandais de se mettre sur le dos et c’est moi qui me mis sur elle, plaçant mon sexe entre ses seins qu’elle resserra pour m’emprisonner, formant un fourreau dans lequel j’allais et venais avec le plus grand bonheur. Marie-France et Evelyne m’encourageant : — Vas-y, cousin, laisse-toi aller ! Et je me laissai aller, éjaculant dans son cou et sur sa poitrine. Quel bonheur, et quelle douceur que vos seins, mes cousines. Je me relevai, soulagé, fatigué mais très heureux. Martine mit le bout de son doigt dans ce qui couvrait son cou et le posa sur sa langue : — Hum ! pas mal, mon cousin, ce qui me ravit. Les deux cousines nous rejoignirent sur le lit, s’étant elles aussi déshabillées et se badigeonnant les seins avec ce qu’elles recueillaient sur la poitrine de Martine. Nous nous enlaçâmes, roulant tous les quatre sur le lit, riant, nous embrassant. — On est bien, affirma ...
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