1. Train de nuit


    Datte: 10/01/2018, Catégories: fhhh, hbi, inconnu, religion, voyage, train, Oral préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe humour,

    ... s’installe. Son arrivée n’a pas dérangé les voyageurs déjà en place. Ils n’ont pas bougé, ne bougent toujours pas, immobiles, tranquilles. Pierrette perçoit le bruit de leur respiration paisible. De temps en temps l’un ou l’autre ronflote. Le calme plat bercé par le rythme des roues. Et le sommeil ne vient quand même pas. Rien à faire. Elle reste éveillée, le mouvement du train, le rythme des boggies, au lieu de la bercer, l’agacent. Sous ses fesses, le coussin de la banquette est parcouru de vibrations. Ça monte le long de sa colonne, jusqu’à la nuque. Elle sent les vibrations avec sa vulve et dans son clitoris. Sa vie sexuelle dernièrement, ça a été le désert. Même pas un coït nostalgique avec un coup de jeunesse. Et voilà que dans un train de nuit, elle mouille, pendant qu’autour d’elle cinq types roupillent. Comment sont-ils d’ailleurs ? Ses yeux se sont habitués à la pénombre. Elle regarde à droite, à gauche. Et puis en face, elle voit qu’elle n’est pas seule sensible aux mouvements du train. L’homme qui occupe la place en face d’elle est un moine, un vrai comme dans le temps, en sandales et robe de bure, et le devant de la robe de bure est soulevé par ce qui doit être une érection et même une érection de taille. Pierrette en est d’abord étonnée, puis attendrie. Les histoires de moines lubriques, ça fait partie du folklore, de la gauloiserie, mais de nos jours, malgré les révélations de l’abbé Pierre, on se dit que si les religieux trouvent trop dur d’accepter la ...
    ... pauvreté et la chasteté, rien ne les y oblige. Alors, ceux qui restent… Mais après tout, un homme de religion n’en est pas moins homme, et il doit éprouver des pulsions naturelles, même si sa vocation c’est d’y résister. Et puis l’idée lui vient, délicieusement, malicieusement perverse : si elle le suçait ? Elle en rit, intérieurement, sans bruit. Mais… Elle regarde ses compagnons de voyage qui dorment toujours. Personne ne passe dans le couloir, le prochain arrêt, ce n’est pas avant une demi-heure au moins. Elle pourrait si elle osait. Elle se mordille la lèvre. Elle serre les cuisses, se délecte du frisson qui se répand en elle, et la décision est prise. Doucement, elle se laisse glisser de la banquette pour se trouver à genoux devant le moine. Il a les deux pieds à plat sur le sol, les genoux écartés. L’ourlet de sa robe arrive à mi-mollet. Doucement, tendrement elle soulève le tissu et passe sa tête dessous. Dans cette tente de bure, elle est isolée des bruits du train, de tout ce qui entoure ; elle est seule, fascinée, concentrée, toute à son œuvre. À gauche et à droite, les cuisses et les mollets de l’homme, à l’équerre, solides, chauds, un refuge accueillant. Devant elle, elle distingue sa verge, dressée, longue et dure et fière, tendant le tissu. Elle la prend délicatement, l’abaisse à l’horizontale, au niveau de ses lèvres. Elle est chaude et douce, le gland toujours recouvert du prépuce généreux. Pierrette passe la langue sur ses lèvres, les mouille d’une salive abondante. ...
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