1. Train de nuit


    Datte: 10/01/2018, Catégories: fhhh, hbi, inconnu, religion, voyage, train, Oral préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe humour,

    ... Elle les écarte à peine, elle voudrait que dans son sommeil le moine rêve qu’il pénètre un vagin humide, tendre et étroit. Ses mains à elle posées sur ses genoux, elle s’interdit de saisir les couilles serrées dans leurs bourses ridées, de toucher autrement qu’avec sa bouche. Tout doucement, elle dépose un baiser sur le bout du pénis monacal, puis lentement elle avance les lèvres, retroussant le prépuce. La vie monastique n’est pas ennemie de l’hygiène corporelle : le saint homme est propre sur lui. Elle glisse ses lèvres sur la hampe, sent le gland qui touche son palais, l’avale plus loin, avance la tête plus encore. Elle a ses lèvres dans les poils, toute la verge dans sa bouche, le gland contre la luette. Une pensée traverse son esprit, une idée d’effrontée, de dévoyée : « Je gobe le zob du moine. » Le mot lui plaît, « zob ! ». Elle s’en délecte. Ses lèvres arrondies sur ce sexe étranger sont momentanément tirées par une ébauche de sourire. Elle aurait aimé avoir un rouge à lèvres de pute, bien rouge et qui déteint. Elle se demande ce que pourrait penser un homme voué au célibat s’il trouvait à la base de sa verge et dans ses poils des traces de rouge à lèvres. Tout en continuant ses va-et-vient, tout en salivant, elle se pose la question capitale : cracher ou avaler ? Cracher la semence sur la robe du moine, c’est laisser des traces certaines, mais après tout, il pourrait croire à une pollution involontaire, et donc sans péché. Alors que se retrouver au réveil la bite ...
    ... poissée et les couilles flasques et vides, il en aurait des doutes… Pierrette en est là de ses pensées quand une intervention extérieure met fin à ses réflexions. Une main vient de lui tâter les fesses. Deux mains tirent doucement le tissu de sa robe, et une main chaude vient se plaquer sur son cul, le médius, comme il se doit, tendu dans le sillon de la culotte. L’inconnu farfouilleur doit trouver l’humidité de l’endroit à son goût, car le médius se fait plus insistant, écartant le tissu pour fouiller les replis, cherchant l’entrée, se mouillant en un mouvement d’avant en arrière. Pierrette trouve le jeu plaisant. Sans lâcher le morceau qu’elle tient dans la bouche, tout en faisant de son mieux pour maintenir le rythme de ses va-et-vient, Pierrette se dresse pour se trouver penchée sur la verge du moine mais les fesses en l’air, tendues, offertes à l’entreprenant inconnu. Celui-ci empoigne les deux globes et les pétrit comme pour en éprouver la fermeté. Puis une main revient entre les cuisses tandis que l’autre doit vouloir libérer un sexe à l’étroit dans le pantalon. Oui, elle entend le bruit d’une fermeture éclair, un froissement de tissu, d’autres bruits mystérieux suivis du bruissement caractéristique d’un emballage de capote qu’on déchire. À l’activité qui se déroule derrière elle, Pierrette devine que compagnon de voyage est en train de se couvrir. Entreprenant donc, mais pas imprudent. Elle aurait pu évidemment interrompre sa tâche pour lui passer une capote de son stock ...
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