Train de nuit
Datte: 10/01/2018,
Catégories:
fhhh,
hbi,
inconnu,
religion,
voyage,
train,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
humour,
... Les deux hommes qui la baisent et l’enculent, sont en train de s’embrasser, de se rouler une pelle. Pour un peu elle se sentirait délaissée ! Quelle engeance, tout de même ! Prise en sandwich entre deux types qui s’embrassent goulûment ! Pierrette serait tentée d’en rire, mais elle est femme de devoir, consciencieuse, courageuse à la tâche, et elle s’applique à astiquer de son cul et de son con ces deux bites qui, après tout, lui procurent déjà des sensations agréables et qui vont sans doute la mener, une fois de plus, à la jouissance. — Con… ! Il allait dire « contrôle des billets, m’sieu-dames », mais il a le souffle coupé. Figé sur place, l’employé des chemins de fer, un courtaud, grisonnant, la gueule ravinée et l’air pas commode. Estomaqué, il regarde le trio pétrifié, qui la robe retroussée jusqu’à la taille, qui le pantalon sur les chevilles. C’est le contrôleur qui le premier reprend ses esprits. D’un mouvement sec il claque la porte coulissante, la verrouille d’un tour de clé carrée. Posant sa sacoche et son poinçon sur la banquette, il avance en défaisant sa braguette. Prestement il saute sur la banquette et, se mettant ainsi à la bonne hauteur, il extirpe une bite grosse, courte, épaisse à la base, presque conique. La forme du gland fait penser à ...
... l’avant d’un TGV. Pierrette ouvre la bouche et l’accepte. Que faire d’autre ? Et puis, se faire trois mecs, c’est tout de même une façon de finir sa nuit en beauté. Elle aspire, tourne sa langue autour du gland ; léchouille le dessous de la hampe, taquine le méat, tout en essayant de maintenir le rythme de ses pulsations sur les deux bites en elle. Dans son cul, ça gicle, elle sent le frémissement de la capote, les spasmes le long de la hampe doivent se transmettre à la bite qui fait face, qui se tend à son tour et se met à crachoter dans le latex. Et dans sa bouche, Pierrette reçoit des coulées de sperme, tiède, un peu piquant, douceâtre. Devant la vitre, défilent des maisons. Dans le compartiment, chacun se rajuste. Pierrette, qui a été tant enfilée, enfile son manteau, prend son sac et sort. Le convoi ralentit. Dès l’ouverture des portières, elle saute du wagon pour se précipiter vers le métro. Les autres prennent-ils le même chemin ? La suivent-ils ? Elle n’en a cure. Elle s’en fout. Une rame entre en gare, bondée, mais elle arrive à monter. Elle se sent soudain fatiguée. Elle bâille. Et se réveille brusquement à la pensée que le jeune homme qui se trouve en face a dû prendre en pleine gueule une bouffée de sperme. Tant pis, elle n’avait plus envie de draguer.