Train de nuit
Datte: 10/01/2018,
Catégories:
fhhh,
hbi,
inconnu,
religion,
voyage,
train,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
humour,
... monsieur de tout à l’heure, l’entrejambe de sa culotte fait un pli, et ce rouleau de tissu humide est coincé entre sa vulve et sa cuisse gauche. Bon, autant l’enlever. Les pieds fermement plantés, elle prend appui contre le dossier avec les épaules et la tête, soulève les fesses ; rapidement, elle retrousse la robe, et fait glisser la culotte. Un pied dégagé, puis l’autre, elle roule la culotte en boule, rabat la robe, et dans le mouvement de se redresser pour la ranger dans son grand sac, elle croise le regard du voyageur dans le coin couloir, dos à la marche. Un regard coquin. Un sourire enjôleur. Un sourcil interrogateur. Et alors Pierrette manque éclater de rire. Très posément, très calmement, le plus naturellement du monde, ce jeune homme ouvre sa braguette et sort sa bite. Comme si la politesse exigeait, en rencontrant une dame, non pas d’ôter son chapeau, mais de se découvrir du bas pour lui montrer dans quel état ses charmes vous mettent. Pierrette se sent désarmée. Elle voudrait se vexer, se froisser, elle n’en aurait pas la possibilité. Le jeune effronté montre par son action et son attitude qu’il s’est rendu compte de ce qui s’est passé. Puis, elle a souri, c’est presque comme si elle avait déjà consenti. En plus, ce garçon n’est pas mal fait, et la bite qui se dresse devant lui est assez mignonne, lisse, cylindrique sur toute sa longueur (considérable), avec un gland, reposant sur ses replis de peau, qui ne déborde pour ainsi dire pas de l’épaisseur de la hampe. ...
... Elle lui trouve un air gracieux à ce pénis, avec sa très légère courbure. Il en paraissait moins agressif, plus humblement suppliant. Comment refuser ? Elle qui naguère se plaignait de sécheresse sexuelle, elle n’allait pas maintenant dédaigner les occasions qui se présentaient. Dans un compartiment d’un train de nuit, elle se trouvait en dehors du temps et de l’espace et de sa vie normale. Ça ne tirait pas à conséquence, et elle allait tirer ce garçon. Plongeant la main dans son sac, Pierrette ouvre le carton et prend une capote, qu’elle extrait de son emballage. Délicatement, elle pince le petit réservoir du bout entre le pouce et l’index et entreprend de dérouler le caoutchouc sur le membre offert. Voilà, on est parés pour la manœuvre. Au moment de chevaucher, Pierrette hésite : elle avait d’abord pensé se mettre à genoux sur la banquette, mais elle se ravise. Elle n’a pas envie de le voir en face, ce garçon. Lui tourner le dos, prendre sa bite en elle par derrière, ce serait garder à cette rencontre son caractère fortuit, impersonnel, mystérieux. De pouvoir regarder aussi autour d’elle, le compartiment et ses autres occupants, ce serait être consciente à tout moment du risque que l’un ou l’autre se réveille. Elle ne se savait pas exhibitionniste mais cette nuit elle se sentait déchaînée. Remontant et ramassant donc sa robe, elle présente les fesses à son partenaire de rencontre. La masse de tissu en paquet sur l’avant bras, de son autre main elle guide le pénis entre ses ...