Train de nuit
Datte: 10/01/2018,
Catégories:
fhhh,
hbi,
inconnu,
religion,
voyage,
train,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
humour,
... lèvres intimes. Doucement, les genoux fléchis, elle se laisse descendre. Le gland passé, Pierrette marque une pause, un arrêt d’un instant, avant de continuer sa descente, lentement, savourant chaque millimètre de la pénétration. Quand, sous ses cuisses nues, elle sent le tissu râpeux du pantalon, elle détend les muscles de ses jambes ; les genoux de son partenaire supportent son poids. Au fond d’elle, tout au fond, le col de son utérus embrasse le gland. Pierrette prend appui sur ses pieds et amorce les mouvements qui lui apporteront la jouissance. Sportive, elle tient la forme, et ses cuisses musclées la portent sans fatigue. L’effort des muscles dans les montées entraîne une crispation de tout son bassin et son vagin serre et tire le pénis qui va-et-vient en elle. Les deux mains sur ses hanches, puis passant carrément sous les fesses pour la porter, son partenaire aide aux mouvements, tout à tour la tirant vers lui pour ensuite la soulever, la soulever jusqu’à presque déconner pour ensuite mieux la rempaler. De sa main gauche Pierrette tient sa robe, d’un mouvement automatique ; comme malgré elle, sa droite est venue chercher son clitoris. Doucement, elle frotte, en rythme avec les pénétrations. Ses oreilles perçoivent de légers bruits, pas encore un clapotis, mais en elle et sous elle, ça baigne dans le jus. Les paumes qui épousent la courbe de ses globes fessiers sont humides. Les doigts du garçon rament doucement, étalent le jus, s’approchent de son anus. Ça y est. Le ...
... plat d’un médius mouillé se plaque à l’entrée de son cul. Les pressions de ce doigt hardi viennent renforcer la pénétration vaginale. Des ondes, des frissons, des crispations parcourent son échine, son ventre. Sa main à elle se fait plus insistante sur son clitoris. Les mouvements de son corps sont plus saccadés, plus brusques. Son bassin vient s’écraser lourdement sur les cuisses du garçon inconnu pour se relever comme à regret. Pierrette se mord la lèvre inférieure pour s’empêcher de haleter, de crier. Le doigt du garçon est maintenant rentré dans son cul, Pierrette se penche en avant pour faciliter cette seconde pénétration ; Dans le mouvement, elle augmente la pression sur son clitoris. Dans son dos, le garçon respire plus fort, puis en elle, au fond d’elle, elle sent la chiquenaude du petit réservoir de la capote qui se tend et retombe sous les pressions répétées de l’éjaculation. Un spasme de son vagin serre la verge en elle et Pierrette se laisse aller à un orgasme fulgurant. Une onde de plaisir monte de son ventre, derrière ses paupières fermées des éclairs jaillissent du néant. Elle frémit, et puis tout est calme. Quittant son clitoris, sa main droite retient la capote à la base du pénis mollissant. Pierrette reprend ses esprits et se lève, s’ébroue, et laisse retomber sa robe. Sans un mot, sans même un regard pour celui qui lui a procuré du plaisir, elle se rassied et ferme les yeux. Apaisée, satisfaite, repue, elle sombre dans le sommeil. Le trajet se poursuit, mais ...