1. La lune noire en taureau - Chapitre II Jane


    Datte: 12/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... ventre. Un pouce se présente devant ma porte obscure et entre doucement, mais fermement. Le plaisir est à son paroxysme. C’est un concerto en rut majeur pour trois mains, un pouce et une langue. J’explose dans un orgasme multiple. Plusieurs jets chauds jaillissent de mon corps. Je perds conscience quelques instants. Retour au réel. Jules a décidé de résider entre mes cuisses. « Alors ? As-tu retrouvé tes petits ma chérie ? - Bien sûr, tu étais le premier et Jules le second ! - Ce n’est pas possible, comment fais-tu ? - De toi, j’ai une certaine habitude et de Jules un souvenir récent. - Tu as gagné, quel est le gage ? - J’ai besoin d’être transpercée, écartelée, comblée. Vous devez terminer votre œuvre, dis-je, en me plaçant en levrette. Chéri, pardonne-moi, mais je n’ai jamais eu à faire à si bel équipement. Jules accompli ta promesse de tout à l’heure. Chéri, laisse-moi aspirer de tes entrailles tous tes sucs. J’en veux des litres ». Jamais je n’aurai pu imaginer parler ainsi, si crûment, sans trouble ni embarras. Ma croupe appelle le membre viril de Jules. Il plonge dans mon écrin brûlant et inondé qui m’arrache un cri. Ma bouche vient à la rencontre de ton goupillon de chair. Je le happe goulûment. Les acteurs sont en place. Je me sens ...
    ... totalement remplie. Chaque coup de rein de Jules me pourfend avec cette sensation que je suis pénétrée jusqu’à la gorge. Ma bouche dans le même élan englouti ton manche aussi dur que du chêne. Les « va et vient » se succèdent. Le ventre musclé de Jules et ses réservoirs chauds et durs alternent le contact avec ma peau. Il va me remplir de sa liqueur brulante et cette idée m’emporte dans des spasmes de plaisir sans fin. Le son de ta voix accroît plus encore le plaisir : « Tu n’as pas honte, petite coquine de te donner au premier homme venu. C’est un beau calibre, n’est-ce pas ? Il te fait jouir ma chérie. Tu n’as pas honte. - Oui…oui…Il me fait jouiiiiiirrr… » Je m’offrais à une ardente jouissance. Je livrais à cet être devenu quelques instant mi-homme, mi bête mes chairs les plus secrètes. De puissants jets bouillants me submergent, au fond de moi comme dans ma bouche, accompagnés de râles de bêtes sauvages. Etre remplie et dégoulinante des deux côtés déclenche en moi un orgasme encore inconnu…Je reste hagard, hébété par ce séisme époustouflant. Quelques minutes plus tard, vous êtes encore bien ferme en moi tant l’excitation avait été extrême. Nous nous étendons. Je me place entre vous deux en chien de fusil, et nous sombrons dans un sommeil irrésistible. 
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