La lune noire en taureau - Chapitre II Jane
Datte: 12/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Aujourd’hui, j’en avais envie. Nous sommes en vacances, Jules demain sera parti et nous le reverrons plus. Au fur et à mesure que le désir grandissait, j’échafaudais un plan. Le jacuzzi est idéal pour mieux faire connaissance. Les corps sont proches et nous ne voyons rien de ce qui est sous l’eau… Je me lançais le cœur battant et mon bouton en flamme : « Chéri, nous pourrions proposer à Jules de venir se détendre dans le jacuzzi et dîner avec nous. Le jacuzzi te fera le plus grand bien, et nous fêterons la fin de ton voyage ! - C’est avec plaisir que j’accepte, et Jules rajoute dans un souffle presque inaudible, mais je ne veux pas vous déranger. - Nous avons besoin de compagnie, et la tienne est charmante lui répondis-je d’un petit clin d’œil ! » - Et moi ? Je vais cueillir les haricots ? Dis-tu mi-figue, mi-raisin. - Mais non mon chérie, tu es toujours au première loge !» Je te le promets. Tu seras aux premières loges de mon plaisir. Au gîte, nous nous changeâmes. Secrètement, j’admirais le corps d’Apollon de Jules. C’est décidé, je vais abuser de tous ses atouts dont l’un me met en appétit depuis le début de l’après-midi. Immédiatement une nouvelle humide impatience naît au creux de mon ventre. Je vais boire son délicieux breuvage qui je n’en doute pas de sa semaine d’abstinence, jaillira brulant et puissant. C’est la mousson au fond de mon maillot de bain ! Quelques minutes plus tard, nous étions dans le bain chaleureux qui apaisait mes sens en émoi. Pour l’instant, je ...
... ne pouvais rien tenter, nous tournions d’emplacement en emplacement. « Je ne sais comment vous remercier pour ce bienfait dis Jules. - Me remercier, car j’ai pris l’initiative de t’inviter, répondis-je. - Je vous invite au restaurant, repris Jules. » L’occasion était trop belle, j’entrevoyais enfin le moyen d’entrer en contact charnel. « Non, non, j’ai le dos en compote, un massage serait le bienvenu. Pendant que tu prépareras le dîner chéri ! ». Je t’observais. J’ai vu que tu avais compris mes intentions et que tu ne t’y opposerais pas. Enfin nous restâmes sur le même emplacement à rêvasser. Et si j’osais…je portais ma main doucement vers le renflement qui abritait les espoirs de la soirée. J’effleurais le maillot de bain, puis progressivement je maintenais une caressante pression. Jules ne réagissais pas et restais les yeux mi-clos. Mais j’avais la preuve dans ma main qu’il n’était pas insensible à mon avance. Le volume que pris son membre m’impressionna et déclencha au fond de mon ventre une vague irradiante. Dans l’autre main, j’avais pris possession de ton gourdin. J’avais là les plus beaux trophées qu’une femme peut espérer. A travers le textile, je sentis le contact de la main de Jules sur mon bouton épanoui par le désir. Je ne pus contenir un gémissement. Nous devions arrêter là l’escalade avant que tout ne devienne incontrôlé… Après nous être séchés, mous rejoignîmes le gîte. Jules était dans la salle de bain pour se raser. « A quoi tu joues ? Me demandas-tu. - Tu as ...