1. Une vache humaine. Le lait, ce sont les femmes qui le produisent le mieux. (2)


    Datte: 15/01/2018, Catégories: Divers,

    ... gémissement alors que mon sexe se faufilait en elle. Malgré sa nouvelle taille, j’ai senti les muscles de sa chatte s’étirer pour me prendre. Elle était tellement mouillée. — Oh oui, baise-moi ! Insémine-moi ! – gémit-elle. Je me suis reculé et ai poussé à nouveau, cette fois-ci m’enfonçant plus profondément. Mes grosses couilles se balançaient d’avant en arrière à chaque poussée, claquant contre elle. Je reculai et poussai à nouveau, cette fois-ci la pénétrant jusqu’à ce que mon bassin heurte le sien. Mes couilles firent un bruit plus puissant et j’ai senti une vibration les traverser. C’était bon. Vraiment bon. J’ai commencé à pousser plus vite. Chaque battement de mes couilles m’apportait un immense plaisir et chaque poussée provoquait un gémissement de sa part. Je sentais quelque chose bouillir en moi alors que je poussais de plus en plus vite. Une envie animale. Il y avait quelque chose de si primitif dans cet accouplement. Nous étions deux animaux qui se reproduisaient, retrouvant nos instincts primitifs. Rien d’autre ne comptait que cela à ce moment Je poussais de plus en plus fort. Les gémissements d’Ingrid venaient en rafales irrégulières entre deux de mes poussées. Chaque fois que je frappais, elle glissait un peu au sol. Ses mamelles étaient compressées entre elle et le sol, et à chaque forte poussée un peu de lait jaillissait. — Oh mon dieu ... oh ... oh ... oh putain ouiii ! - Haletait Ingrid. Une petite flaque de lait se formait bientôt tandis que je faisais ...
    ... entrer en sortir ma bite. Elle tourna son visage sur le côté et le posa sur le sol, ses yeux me regardant alors que sa bouche grande ouvert poussait des gémissements incessants. Tandis que je la baisais, je passai une mais sous elle et attrapai le monticule charnu d’une de ses mamelles. La peau était chaude entre mes doigts quand je l’ai serrée. Un jet de lait s’échappa de sa tétine, ajoutant à la flaque d’eau toujours croissante sous elle. Elle commença à couiner tandis que ses yeux se révulsaient et que son corps se tendait. Sa chatte engluait ma bite à chaque poussée alors que ses muscles se crispaient. Elle retint son souffle quand son orgasme roula en elle avant qu’elle ne laisse échapper un gémissement puissant que les autres huvaches entendirent certainement. Bon, laissons, pensais-je, laissons-les comprendre que je l’insémine. J’ai continué à pousser, sentant mon propre orgasme arriver. Mes couilles gonflaient alors que mon foutre était en passe d’être libéré. Je poussai une dernière fois en elle, la saisissant par ses mamelles et la tirant contre moi. Elle laissa échapper un long gémissement pendant que je libérais de longs jets gluants de sperme au fond de son utérus fertile. Je n’arrivais pas à croire à la longueur de cet orgasme, comme ma bite continuait à se contracter et à éjaculer toujours plus du sperme de mes couilles de la taille d’un pamplemousse. Il a débordé de son antre défoncé et a coulé sur ma bite. Elle regarda en arrière et se pencha pour m’embrasser ...
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