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Une vache humaine. Le lait, ce sont les femmes qui le produisent le mieux. (2)
Datte: 15/01/2018, Catégories: Divers,
... profondément alors que ma bite commençait à se rétracter en elle. Elle interrompit le baiser et nettoya une partie de la sueur (et peut-être du lait) de ses cheveux trempés sur son visage. — C’était incroyable. — Wahou, je n’ai jamais eu de rapports sexuels aussi puissants auparavant - haletai-je. — Moi non plus. Elle se pencha pour m’embrasser à nouveau. — C’est si merveilleux d’être inséminée. Je peux sentir ton sperme au plus profond de moi. Elle se tortilla en avant et mon sexe se faufila hors d’elle. Ses trayons laissaient des lignes de lait sur le sol. Elle lécha nos deux liquides sur ma bite, s’assurant de garder sa croupe en l’air pour conserver tout mon sperme en elle. Elle prit sa mamelle et la pressa. — Je pense que je devrais finir ma traite - dit-elle en regardant la flaque d’eau qu’elle laissait sur le sol. — Clairement, je suis encore pleine… Enfin, de lait aussi… rigola-t-elle. Elle posa sa main sur sa chatte et se leva, se dirigeant vers la table de traite aussi vite qu’elle le pouvait. Une fois qu’elle eut mis ses mamelles solidement dans les tasses, elle remit son croupion ...
... en l’air avec un air satisfait sur le visage de ne pas avoir renversé une goutte de ma semence. Je me suis levé et me suis allongé sur son lit pour la regarder quand la porte s’est ouverte. Nous avons tous les deux levé les yeux alors que Carole entrait. — Alors, comment c’était ? – demanda-t-elle à Ingrid. — Merveilleux - fit Ingrid d’un air rêveur alors que la machine tirait rythmiquement sur ses trayons. — Oh, je suis si heureuse pour toi Ingrid - dit-elle avant de se diriger vers moi. Alors qu’elle approchait, je pouvais voir à quel point sa chatte dégoulinait sur ses cuisses. — J’ai tout réglé avec l’administration Laurent - dit-elle en se mettant à quatre pattes devant moi. Je suis autorisée à être fécondée par un beau et fort taureau comme toi. Sa croupe m’appelait. Son gros clitoris pointant sous son capuchon, rouge et enflé. Cela avait l’air presque douloureux et il fallait s’en occuper. Je jetai un coup d’œil interrogatif à Ingrid, qui me regardait, la croupe en l’air, pleine de mon sperme. — Qu’attends-tu ? – Me demanda-t-elle, me désignant la croupe rebondit de Carole. — Monte la !