1. Trois mois de vacances


    Datte: 16/01/2018, Catégories: fh, hplusag, voyage, amour,

    ... satisfaction. Ses paumes en appui sur mes seins, elle tressaute en rythme, emmanchée sur ma hampe. Ses fesses claquent sur mes cuisses. Après quelques minutes de ce traitement, aucune jouissance en approche. Alors ma belle se dévagine entièrement, contracte sa vulve et force ma pénétration. Je m’enfonce totalement en elle. Pour être possédée au plus profond, elle se penche en arrière empoignant mes chevilles. Quand elle est bien assise sur mes cuisses, elle entame un cycle contraction/relâchement de ses muscles vaginaux. — Caresse mon clitounet, s’il te plaît. Le goujat égoïste qui ne pense qu’à lui. Je m’empresse de remédier à ma carence. Mains posées en haut de ses cuisses, mes pouces mènent une attaque tous azimuts sur le petit encapuchonné. Je le roule, l’étire, le presse, le pince délicatement. Ces médications se révèlent efficaces. Popaul daigne enfin sortir de sa réserve. D’un jet puissant, il irrigue de sa semence cette chapelle, ô combien ardente. Mai se cambre, plante ses ongles dans mes mollets et balance un long cri qui réveillerait le plus sourd de nos voisins si nous en avions. — Putain, j’regrette pas que ce foutu yacht ait coulé !— Bonjour le romantisme.— J’ai jamais été aussi heureuse ! Et ce qui gâte rien je n’ai jamais autant joui ! Tu préfères ?— J’ferai semblant de te croire !— T’es vraiment trop con ! En tout cas, j’espère que personne ne viendra nous secourir ! On est trop bien tous les deux ! dit-elle avant de s’affaler sur moi dans une attitude ...
    ... désormais habituelle après l’amour. À cette seconde, je n’étais pas loin de partager son avis. Pas forcément pour les mêmes raisons. Au matin, quand j’ai émergé, elle n’était plus là. Elle ne m’avait même pas réveillé. Grosse angoisse. Plus le temps passe, plus celle-ci augmente. Tous mes doutes s’envolent lorsqu’elle entre dans la pièce, un sourire radieux illuminant son visage. (une fin est-elle la fin ?) 11 juin. Depuis nos aveux, nous vivons dans une euphorie permanente. Mai rayonne. Tout lui est prétexte à rire même les orages ne l’inquiètent plus. Madame la Comtesse, froide, réservée à l’humour caustique s’est transformée en gamine espiègle. Le monde merveilleux de Disney ! Après le premier enthousiasme, j’ai retrouvé un semblant de raison. Le bénéfice (ou l’inconvénient) de l’âge, sans doute. Ce bonheur artificiel créé par des circonstances particulières s’érodera rapidement au contact du réel. J’ai une chance incroyable de vivre cette aventure à plus de soixante balais alors j’entre allègrement dans son jeu. Les jours défilent à une allure vertigineuse. Hors les corvées nécessaires à notre survie, avec cette rude météo hivernale, nous ne mettons plus guère les pieds dehors. Une bonne partie de notre temps libre est consacrée à l’exploration de nos sentiments. Un restant de bon sens nous fait éviter les mots niais, mais nos gestes sont très bavards. Chaque jour, nous tentons de revivre cet état de « zenitude » que nous avions atteint la première fois. Et nous y arrivons, à ...