CINE PASSION : MA PREMIERE SEANCE (1)
Datte: 20/01/2018,
Catégories:
Gay
... ça... Rien de pire que de se taper un film de deux heures à côté d’un voisin qui empeste... Je me replongeai dans le film en finissant mes pop-corn, puis posai le gobelet à mes pieds. Au bout d’une quinzaine de minutes, un effleurement sur ma cuisse gauche me fit tressaillir. Suivi d’un deuxième, léger, remontant du genou vers le haut de la cuisse. Je regardai mon voisin, apparemment absorbé par le film mais dont l’épaule droite bougeait imperceptiblement tandis que sa main en partie dissimulée par son blouson glissait en lents va-et-vient sur ma jambe. A présent, le bout de ses doigts ne caressait plus le dessus de ma cuisse, mais l’intérieur, montant de plus en plus précisément vers l’entrejambe. J’aimerais pouvoir dire que je résistai farouchement à l’incursion de la main de cet inconnu autour de mon intimité, mais le cœur battant à tout rompre, ne sachant quelle contenance prendre, tremblant de honte ou de crainte d’être vu bien plus que répulsion farouche, je pris le parti de récupérer ma veste sur le siège vacant à ma droite et de m’en couvrir les genoux assez largement pour cacher les manœuvres d’approche en cours. Prenant sans aucun doute ce geste pour une invitation, mon voisin s’aventura bien plus loin dans la caresse, massant cette fois le renflement de mon sexe à travers mon jean. Je jetai un œil craintif autour de nous. Aucun des 5 autres spectateurs ne risquait de voir quoi que ce soit depuis sa place. Mon voisin me caressait calmement, fixant l’écran comme si ...
... de rien n’était, même si je crus distinguer, en regardant sa poitrine moulée dans un t-shirt blanc impeccablement ajusté, une légère accélération de sa respiration. Contenant moi-même la mienne, qui me semblait s’entendre à des kilomètres, tout comme les battements affolés de mon cœur, je m’efforçai de regarder les images défiler devant mes yeux, sans être capable de dire ce qui se passait sur l’écran. Mon esprit, lui, était concentré sur ce qui se passait dans mon jean où une érection irrépressible comprimait désormais mon sexe contre le rempart de ma braguette. Bien faible rempart, en vérité, qui céda petit à petit, millimètre par millimètre, lorsque l’inconnu se mit en devoir de l’ouvrir avec science et habileté, continuant ses caresses appuyées à travers le tissu fin de mon slip distendu. Nouveau regard, pour voir que son autre main s’activait discrètement sous le blouson de cuir, sans doute sur sa propre braguette. Tétanisé, des fourmis partout, les mains cramponnées aux accoudoir du fauteuil, je sentais exploser en moi des torrents infinis d’adrénaline pendant que cédait le bouton de mon froc et que des doigts étrangers glissaient sous l’élastique de mon slip pour empoigner ma bite dure comme du bois. Comme dans un rêve, ma main gauche lâcha l’accoudoir pour fuir se cacher sous le cuir crissant, trouva un jean béant et chercha vainement un caleçon ou un slip, pour ne rencontrer qu’une petite touffe de poils et une tige aussi dure que chaude dans ma main tremblante. Je ...