1. CINE PASSION : MA PREMIERE SEANCE (1)


    Datte: 20/01/2018, Catégories: Gay

    ... sur les miennes et que sa langue cherchait sa jumelle dans ma bouche. Mon premier baiser... Un rude et âpre baiser de mec dont la bite dressée cognait et frottait contre la mienne, butait sur mon bas-ventre, dont les couilles chaudes glissaient sur ma peau, pendant qu’il caressait les miennes, dures comme des pierres et gonflées à l’extrême. Tout s’enchaîne très vite. L’échange de nos prénoms dans un souffle brûlant, lui Fabrice, moi Guillaume, lui empoignant ma jeune et vigoureuse tige que je n’avais jamais vue si énorme et longue, moi lui murmurant que je suis vierge, lui me disant de ne pas m’inquiéter, qu’il veut juste me faire du bien et qu’il sera sage, moi lui gémissant que je ne sais pas comment faire, lui me guidant vers son dard en me disant de faire comme tout à l’heure, que c’est très bien... Il me pousse vers le canapé, mes genoux plient, je tombe assis, il écarte mes cuisses et plonge vers mon sexe, je vois comme au ralenti sa langue me lécher le gland puis sa bouche l’enfourner. Je suis dans ce fourreau chaud, humide de salive, ça glisse tout seul, sa langue m’enveloppe, me savoure, me titille le bout, ses lèvres vont et viennent sur la hampe, m’aspirent, puis me recrachent pour gober mes couilles... La tête renversée sur le dossier du canapé, je halète, je gémis, je me tends comme un arc, puis redeviens souple. Fabrice m’allonge, m’embrasse de nouveau... Je devine sur sa langue la saveur de ma bite, de ma mouille. Puis il se met sur moi, me demande si je ...
    ... veux essayer de le sucer... Je crois que je hoche la tête, je chipote sur le bout du gland, je le lèche de la pointe de la langue, recueille un filet de mouille salée, puis gobe enfin sa trique, reproduis les mouvements de sa langue sur la mienne, le pompe quand il me pompe, aspirant si fort que je m’étonne qu’il puisse se retenir quand moi je suis au bord de chavirer sans cesse. Mais il sait y faire. Chaque vibration, chaque palpitation de ma queue, chaque tressaillement de mon corps le renseigne et le guide pour adapter le rythme et l’intensité de ses caresses. Il doit y avoir maintenant plus de deux heures qu’il joue avec moi, me maintenant dans un état second, retardant ma jouissance jusqu’à la souffrance... Je ne veux plus rien d’autre que ça... Jouir et le faire jouir en retour... Je n’ai plus honte, plus peur... J’ai juste envie de sentir ma semence exploser comme un bouquet final... Enfin j’ose, je parle, je supplie, je dis des mots tellement plus crus que ces innocentes fleurettes que je ne parvenais jusqu’alors pas à conter aux filles... Moi qui n’avais jamais posé mes lèvres sur d’autres lèvres, je supplie ce gars encore inconnu deux heures auparavant de me faire jouir, de jouir pour moi, de continuer à me sucer, pendant qu’il me grogne entre deux allers-retours combien je m’y prends bien, combien je l’excite et comme je fais bien monter son plaisir... Il s’arrête un instant, me demande si je veux qu’il jouisse dans ma bouche... Je trouve la force de dire que je ne ...