1. Si par des nuits diverses, un fourrageur


    Datte: 22/01/2018, Catégories: h, fh, hagé, fagée, jeunes, couple, Collègues / Travail plage, train, bateau, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation massage, Oral pénétratio, fsodo, exercice, tutu, lettre, mélo, nostalgie, portrait,

    ... un peu. Soudain Aïe ! L’homme rit, il lui a certainement pincé un téton. Il retire ses mains. Il range dans le sac le tube de crème et en retire un petit livre : « Souvenirs torrides de Dakar ». Avant qu’il puisse l’ouvrir, la femme lui a vivement banderillé le pli de la fesse avec l’ongle. Elle s’est vengée, c’est au tour de l’homme de gémir. Ils se regardent. La femme se tourne, s’installe sur le côté, lui faisant face. Sa tête fine saupoudrée de sable gris s’appuie sur une paume. Sa poitrine glisse un peu, les seins s’appuient l’un contre l’autre. L’onde que forment la taille, la hanche puis la cuisse est terriblement excitante. L’évasement central chargé de féminité rappelle à chaque instant qu’il abrite la capitale matrice, accueillante et féconde, interdite et offerte. L’homme ouvre le livre et s’y plonge. Il sent bientôt la main de la baigneuse se poser sur son boxer, glisser jusqu’à buter sur le sable, repartir entre ses cuisses. La femme aimerait toucher son sexe. Sentir contre ses doigts le membre brûlant. Le prendre en main, à pleine main et refermer doucement les doigts dessus. L’homme ne bouge pas. Souriant à pleines dents il poursuit sa lecture. La petite main féminine insiste mais elle ne peut rien contre cet acier de muscles. Le bassin viril est soudé au sable, l’accès à la verge est impossible. Bientôt elle capitule. Elle se positionne tout contre lui, complice. L’homme décale un petit peu le fascicule pour lui en offrir un accès plus confortable. ...
    ... Ensemble, ils poursuivent l’exploration de la nouvelle érotique : « … fumait répandant l’odeur caractéristique de la menthe. Elle remplit une tasse, la saisit et se releva doucement. Ahmed restait étendu sur le lit gris. Totalement nu. Immobile. Terrassé à vrai dire par la chaleur étouffante de l’après-midi. Samira regarda un instant l’homme moite qui l’attendait. Son sexe épais endormi sur une cuisse. Puis elle alla s’accouder à la fenêtre restée grande ouverte. Goulée après goulée elle fit pénétrer l’eau brûlante dans sa gorge. Elle regarda les dockers qui s’agitaient juste en bas. Un énorme paquebot noir attendait à quai. Une mince fumée sombre s’échappait de sa colossale cheminée. Déjà l’agitation sur les quais révélait son départ prochain.Une fois la tasse vidée jusqu’à la dernière goutte, Samira se retourna. Ahmed n’avait pas bougé d’un centimètre. Quel calme, quelle torpeur dans cette petite pièce, comparés à l’activité du port ! Ahmed n’avait sans doute pas même fait l’effort de soulever une paupière pour se délecter du corps lascif en contre-jour, habillé par quelques anneaux d’or aux chevilles et au cou, recouvert d’une fine mousseline bleue. Samira n’en fut pas contrariée. Elle s’accroupit, et reposa la tasse. Elle se releva.Elle entonna une douce mélopée et s’approcha du lit. Présentant le dos de sa main, ses ongles firent quelques huit sur les pectoraux rebondis. Penchant la tête de droite et de gauche, toujours chantonnant, elle jaugeait l’engourdissement de ce mâle ...
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