Si par des nuits diverses, un fourrageur
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
h,
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jeunes,
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Collègues / Travail
plage,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
massage,
Oral
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... tournicotant dans les tasses, hypnotisées.Un café oui s’il vous plaît.Non sans sucre je fais attention. La bouche de Sylvie peinait à se fermer, sa langue à rester en place. Pourrait-elle l’embrasser ? Sylvie regardait Philippe, avide. Ses fesses se contractaient. Elle imaginait qu’il posait ses doigts sur sa peau nue. Elle aurait tant aimé à cet instant qu’il prenne possession de ses atouts charnels. Il suffit d’un instant de gêne, court, oh ! très court, mais déjà Philippe jette un œil, juste un œil, à l’écran. Un soleil, des vagues, des goélands glissant de l’un aux autres. L’œil jeté ne sera jamais rendu. Il est irrémédiablement happé, immédiatement prisonnier. Des crabes à présent qui semblent fuir le sable. Leurs pattes tricotent, agacées. Inévitablement Sylvie regarde aussi, alors qu’un bec s’escrime sur un coquillage. Elle se fait engloutir, elle aussi. L’horizon, bleu sur bleu. Un bateau. Le temps s’était comme arrêté, bientôt la salle s’était vidée. Il n’y avait plus que nos deux transis face à ce mur spectacle. Les vagues encore maintenant, grosses. D’une ressort une tête puis une deuxième. Deux baigneurs. Les corps surgissent de l’eau. Immenses et impériaux, ils dédaignent avec magnificence les tourbillons, furieux d’être rendus impuissants. Un boxer moulant pour lui, un bikini aux couleurs électriques pour elle. Ils s’allongent sur le ventre, côte à côte. L’eau cristalline coule sur leur peau bronzée, trouve des ruisseaux le long des côtes, descend ...
... sensuellement. Ici interloquée par le renflement d’un sein, là s’empressant au creux des reins. L’homme a un large dos, ses muscles roulent. Ils sont secs à présent. Le soleil. L’homme le premier se relève, attrape un tube puis s’agenouille au-dessus de sa compagne. Ses mains ont recueilli un peu de crème, elles s’aplatissent contre les fines épaules féminines. L’homme joue sur tout le dos, lascivement, pesamment. L’extrémité de ses doigts frôle puis touche les seins qui débordent légèrement. Le bas du dos. La cambrure, parfaite, est enduite à son tour. En tournant, les mains inspectent la peau lorsqu’elle s’épaissit et enfle pour devenir fesse. Un index s’enhardit même le long du sillon naissant. La nymphette ronronne de plaisir alors qu’une paume longe la rondeur de son bassin. Le dos à nouveau. Le massage s’effectue à pleines mains, l’homme voulant tout tenir, tout avoir. Il appuie fort sur le dos. Les côtes bougent sous la pression. La caresse revient sur les flancs. Ce ne sont plus quelques phalanges à effleurer le bord du sein : les mains entières forcent de chaque côté cherchant à s’imposer. La baigneuse se soulève un peu des coudes. Les mains s’engouffrent et emprisonnent chacune son sein. « Qu’ils sont bons », lui glisse-t-il à l’oreille. Une main court vers le ventre, qu’on devine à peine rebondi. Le sein libéré s’écrase sans bruit sur le sable. La main effrénée gagne le bas-ventre, rencontre le tissu. Elle l’enjambe et masse impudiquement l’entrecuisse. La fille soupire, remue ...