1. Mon chef comptable


    Datte: 08/07/2017, Catégories: fh, hplusag, hagé, extracon, Collègues / Travail grosseins, laid(e)s, cérébral, odeurs, Oral

    Moi c’est Odile, 23 ans, très brune et de corpulence plutôt forte. Les garçons n’ont d’yeux que pour ma poitrine volumineuse. On ne peut pas la louper ! Mais pour le reste, je suis plutôt quelconque, ce qui ne m’empêche nullement de trouver de temps en temps des petits copains, malheureusement en général pour une nuit, pas encore pour la vie ! Je travaille dans une société d’intérim. Je fais des petits boulots, souvent du secrétariat. L’automne dernier, juste après les vacances, je me suis retrouvée dans une p’tite boîte à trier des archives, le genre de job passionnant qui motive vraiment les jeunes… Il ne me fallut que quelques jours pour remarquer que le responsable de la comptabilité, pour lequel je travaillais et auquel j’étais directement rattachée, n’arrêtait pas de me reluquer, et en particulier au niveau des doudounes. Il craignait un max. Le vieux chnoque dans toute sa splendeur, cinquante, p’t’être même presque soixante piges, un vieux costume gris défraîchi, des tempes grisonnantes, le genre qui sourit quand on le pince et, en prime, marié jusqu’au bout des ongles : vous voyez le tableau, le manche à balai dans les fesses, pas du tout mon style de keum. Mais, que voulez-vous, ma poitrine le fascinait ! Un de plus qui aimait les gros lolos. La plupart du temps ce sont des gars immatures, mais lui c’était beaucoup plus un vieux chnoque. J’le kiffais pas vraiment. J’le kiffais pas du tout d’ailleurs. D’un autre côté j’avais pas de p’tit copain à cette époque. Et ...
    ... comme j’avais pas non plus le temps d’aller en boîte, vu que j’travaillais, et bien… je risquais pas vraiment d’en trouver. Je ne sais pas trop ce qui m’est passé par la tête, mais j’me suis mise à fantasmer grave sur mon comptable. Evidemment, j’me suis bien gardée de raconter tout ça à mes copines, c’aurait été trop la honte. Elles m’auraient prise pour une pétasse. Pourtant j’rêvassais dur en cachette, le genre de rêve plutôt cochon qui m’empêchait de m’endormir. Maintenant, dès que j’le croisais dans les couloirs, je m’imaginais des choses débiles avec lui, du style toucher son sexe ou même être à genoux, à ses pieds, en train de le lécher. Et quand il se pointait près de mon bureau, je ne vous dis pas, j’me mordais les lèvres pour ne pas avoir de pensées malsaines. Je comprenais pas ce qui se passait. Mon regard était comme aimanté par sa braguette et j’devais faire des efforts pour rester discrète, je luttais à chaque instant contre ces envies débiles qui revenaient sans cesse comme de vraies obsessions. Je m’arrangeais pour qu’il ne remarque rien, pour que personne ne puisse se douter de quoi que ce soit mais il s’agissait d’une lutte de chaque instant. « Ma fille, tu es vraiment folle, t’es complètement à la masse. Tu files vraiment un mauvais coton ! ». Mais j’avais beau me raisonner, ça devenait vraiment dangereux pour moi, je risquais à tout moment un geste déplacé, le genre de geste que j’aurais vraiment regretté. Je devais aller de temps en temps chercher les ...
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