Mon chef comptable
Datte: 08/07/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
extracon,
Collègues / Travail
grosseins,
laid(e)s,
cérébral,
odeurs,
Oral
... dossiers dans la réserve et plusieurs fois il m’avait suivie, sous des prétextes futiles. Néanmoins, il était resté très correct, il n’avait rien tenté : aucune proposition, aucun geste déplacé. Pourtant, c’est plus que sûr, il y avait bien quelque chose dans sa façon de faire et son attitude ambiguë m’intriguait de plus en plus. Et puis, cette réserve mal éclairée, et cette impression fugace le jour où j’avais frôlé son corps, j’en avais été toute troublée. Maintenant j’avais franchi une nouvelle étape, je me caressais le soir en y repensant. J’imaginais des choses, j’avais envie de lui. Et la journée suivante, c’était un vrai calvaire, il fallait que je contrôle mes émotions pour ne pas tenter le diable, je devais faire tout mon possible pour ne pas succomber à la tentation. Mission réussie, mais quelle épreuve ! Lui, de son côté, il continuait toujours de regarder mes roploplos avec ses yeux de merlan frit mais ça s’arrêtait là, il n’y avait rien d’autre. J’étais donc la seule à en baver. Je me suis dit « Ma fille, tu as le feu au cul, il faut absolument que tu te trouves un mec ». Le samedi suivant, en boîte, je me suis fait draguer par un motard, avec des gros biscotos, un cuir et des tatouages. Un baratineur pas possible ! Il m’a emmenée faire un tour sur sa bécane et nous avons fini dans un petit chemin. Il m’a prise dans les herbes folles. Ensuite, j’étais comme rassasiée, après plusieurs jouissances, il m’avait vraiment bien baisée. Je lui ai filé mon tél. mais lui ...
... non, il n’a pas voulu, pour lui j’étais un coup facile et j’avais peu d’espoir qu’il me rappelle. D’ailleurs, jusqu’à présent, il ne m’a jamais rappelée. Mais tant pis, c’avait été quand même un bon moment. En tout cas, la semaine qui suivit avait été plus tranquille, j’avais moins de fantasmes, je me sentais moins vaciller lorsque le chef passait. Mais l’intermède ne dura pas bien longtemps. Le vendredi matin, quelques regards appuyés sur ma poitrine suffirent pour me rappeler sa présence et me donner, à nouveau, envie de lui. J’ai senti ma petite chatte humidifiée par le désir. Le pire, c’est qu’il est resté un bon moment dans le bureau à parler avec l’autre secrétaire, je le voyais de profil, une très légère bosse au niveau de sa braguette. J’imaginais ce qu’elle pouvait receler, j’imaginais sa tige, je m’imaginais en train de la lui lécher, j’imaginais plein de choses, plus perverses les unes que les autres, j’avais des étoiles devant les yeux. J’étais en train de tapoter sur le clavier comme un robot mais je vous jure que je pensais à bien autre chose. A midi je suis allée prendre l’air à la galerie marchande, j’avais vraiment besoin de me changer les idées. Mais au retour, je l’ai encore croisé et ça m’a mise à nouveau dans un état pas possible. Décidément, plus le temps passait et plus ça empirait. C’est ce qui m’a conduit à faire cette folie… Le vendredi soir, tout le monde part de bonne heure, week-end oblige, même le grand patron débauche à 17h. Tout le monde part, ...