Mon chef comptable
Datte: 08/07/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
extracon,
Collègues / Travail
grosseins,
laid(e)s,
cérébral,
odeurs,
Oral
... a-t-il fini par admettre en décomposant toutes les syllabes, comme un vieux prof gaga.— N’exagérez rien, le principal c’est qu’ils vous plaisent…— Admirables, a-t-il répété, décérébré comme le dernier des crétins (comme quoi on peut avoir une place enviable et être un abruti).— Et bien, moi aussi j’ai envie de voir quelque chose qui vous appartient et qui se situe entre vos cuisses… Vous me la montrez ? Des borborygmes se sont emmêlés dans sa gorge. Il a failli s’étouffer avec sa propre salive. Je tenais le dessus, je me sentais vraiment très forte. Alors j’me suis avancée vers lui et me suis carrément agenouillée entre ses jambes. Et j’ai posé ma main sur sa braguette, il était déjà dur, il bandait, ce vieux coquin bandait pour mes tétés, ça m’a tout de suite mis l’eau à la bouche, à la bouche et ailleurs, d’ailleurs ! Depuis le temps que j’en rêvais de sa tige, j’étais vraiment impatiente de jouer avec… mais plutôt malhabile pour dégrafer les boutons bien trop gros. Croyez-vous qu’il m’aurait aidée ? Non, il me laissait me dépatouiller toute seule. Et dire qu’il portait un slip kangourou ! J’ai failli éclater de rire. Pourtant, curieusement j’ai trouvé ça excitant, ce slip de vieux, ça cadrait parfaitement avec le personnage. J’ai extirpé son sexe comme j’ai pu, une bite veineuse, noueuse, avec un gland rouge foncé. Elle n’avait rien d’exceptionnel, mais elle était pour moi très excitante. — Hummm, qu’elle est belle cette queue ! Elle est vraiment très grosse. (Même si ce ...
... n’était pas vrai, ça fait toujours plaisir à entendre et ça met les mecs en confiance). J’ai commencé à donner des petits coups de langue sur son gland, j’en profitais pour humer son odeur qui n’était pas désagréable mais plutôt forte et enivrante. Mais je n’étais pas très à l’aise avec ce petit sexe qui sortait à peine de la poche kangourou. — Et si vous baissiez votre pantalon, vous seriez plus à l’aise ! Il a obtempéré, malhabile, et je me suis, pour ma part, occupé de son slip gris en le descendant jusqu’à ses pieds. — Non, ne vous rasseyez pas, restez debout, je vais m’occuper de vous comme ça… j’ai très envie de sucer votre gros dard, je le trouve vraiment très appétissant. Son épais buisson était parsemé de poils blancs. Je n’aurais jamais pensé que cela puisse m’exciter comme cela. J’avais des poils partout dans la bouche mais, d’un autre côté, j’avais l’entrecuisse archi trempé. J’ai embouché son membre et je me suis appliquée à bien le sucer. C’était divin, son odeur forte et musquée me montait à la tête, j’étais vraiment dans tous mes états, prête à beaucoup de choses pour satisfaire les plus vils instincts de mon vieux patron. De ce côté, lui ne pensait évidemment qu’à ma poitrine. Alors que je lui faisais cette fellation d’enfer, il se penchait de temps à autres pour agripper mes doudounes, il les faisait rouler entre ses doigts, il les pétrissait comme de la bonne pâte. Cette trop lourde poitrine, que personnellement je détestais, semblait être pour lui comme la ...