1. Mon chef comptable


    Datte: 08/07/2017, Catégories: fh, hplusag, hagé, extracon, Collègues / Travail grosseins, laid(e)s, cérébral, odeurs, Oral

    ... septième merveille du monde ! Quand je l’ai senti venir, ce qui n’a pas tardé, je me suis retenue pour ne pas tout avaler, tellement j’en avais envie. Mais j’ai préféré sortir son sexe, le masturber quelques passes avec frénésie et diriger son jet vers ma poitrine en le regardant droit dans les yeux. Il a grogné comme un vieux bouc, en éructant un cri de bête qu’on égorge en regardant sa semence s’étaler par saccades sur mes roploplos. J’étais vraiment aux anges de lui avoir fait un tel effet, j’aime la bête qui sommeille en chaque homme. J’ai insisté en frottant son gland plusieurs minutes contre mes doudounes. À chaque passage il gémissait comme un animal en rut. J’étais terriblement mouillée, ma culotte devait être trempée. Et je n’étais nullement rassasiée… — J’ai très envie de vous, ai-je lancé. Vous avez des préservatifs ? Il m’a regardée, interloqué et stupide, et a secoué la tête négativement. « Merde, quelle galère ! Il assure vraiment pas, le vieux ». — Et bien c’est bien dommage, ai-je répondu, amère.— Je peux… je peux peut-être aller en acheter… Candide et touchant. Dans ce quartier d’affaires, s’il croit qu’on trouve des distributeurs de capotes à tous les coins de rue. — Non, c’est pas grave, une autre fois, il y a d’autres moyens de s’occuper de moi… J’ai retiré ma jupe et bientôt ma culotte. Une large auréole humide sur le devant ne laissait aucun doute sur l’étendue de mon émoi. Je lui ai tendu le petit bout de tissu. — Alors ? Elle sent bon ? Il a fait « ...
    ... oui » de la tête. Il n’était pas bavard mais il était sincère. — Si je m’allonge sur le bureau, ça vous va ? Il m’a aidée à faire de la place en virant les dossiers puis s’est enhardi à soupeser mes seins avant de se pencher pour me sucer les bouts. Décidément son obsession mammaire était complète mais pas désagréable. Il n’était pas brutal, au contraire peut-être un peu trop précautionneux. À ce moment là, j’aurais aimé qu’il me les morde, ou qu’il les étire avec un peu plus de violence, mais il se contentait de les suçoter. Malgré tout, mon trouble était évident. J’étais hors de moi et j’avais vraiment hâte qu’il éteigne le feu qui était né entre mes cuisses, en priant aussi de toutes mes forces pour qu’il soit cette fois à la hauteur. Mes jambes flageollaient. Je pris l’initiative de m’étendre sur le bureau, cuisses entièrement écartées, très largement ouvertes à ses caresses. Mais il m’a encore fait languir un bon moment, passant ses doigts lentement dans mon buisson, de longs baisers-tortures tout en haut des cuisses. Puis il revenait à mes seins qu’il tétait lentement, ensuite je sentais ses doigts experts parcourir le long de mes fesses, de nouveaux baisers et quelques effleurements. Je n’en pouvais plus d’un tel traitement. J’étais hors de moi, complètement folle, tous mes sens en éveil. Ce coup de langue le long de mes lèvres, c’était trop bon. Je propulsais mon bassin vers sa bouche. Un effleurement sur mon clito dur comme un petit sexe m’extirpa une nouvelle plainte. ...
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