1. Martha, la fille de feu et de glace (2)


    Datte: 27/01/2018, Catégories: f, fh, vacances, voyage, collection, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme init,

    ... exploser. Martha doucement et tendrement, tout en exerçant une pression constante, m’aspire, me titille avec le bout de la langue. Elle imprime à sa bouche, un rythme de succions mesurées ou endiablées, et alterne la douceur du contact de son palais humide, lisse et profond avec d’infimes harcèlements de ses dents et la voluptueuse caresse de sa langue chaude. Le traitement me rend fou et elle l’interrompt juste au moment où je suis sur le point de céder au plaisir. Ni tenant plus, à mon tour, je la renverse et lui applique une exploration démoniaque, prolongée et complète de tout son corps. Au fur et à mesure que j’avance, je reconnais ses odeurs et ses réactions, m’appesantissant sur la pointe de seins, les aspirants, les suçotant, les mordillant, jusqu’à ce que les longs feulements de Martha me signalent un début jouissance. Alors, lentement, le plus lentement possible, je descends vers son ventre, m’arrêtant sur le nombril que j’explore avec langueur. Martha m’enserre aussitôt la tête entre ses mains et la pousse vers son intimité. Sous la pression de ses mains, je vais l’explorer. Elle est déjà largement humide, ouverte et déjà prête à me recevoir en elle. Ma langue l’ouvre, la fouille, s’applique à faire le tour des muqueuses gonflées et humides de plaisir, recherchant son point G, que je vais exciter longuement jusqu’à ce qu’elle crie grâce et que, d’une traction des mains, elle m’attire et me reçoive dans son intimité brûlante. Alors nos corps se retrouvent, à ...
    ... l’unisson. Mouvants doucement ou avec brutalité et même avec bestialité, le plaisir que nous avions pensé tous les deux déjà atteint, monte de plusieurs crans, pour exploser dans un feu d’artifice et de cris qui nous laisse anéantis. Le reste de la soirée et de la nuit sera à l’identique, reportant d’autant le réveil matin. — Ce matin, je vais te montrer de quoi est capable l’Islande …— Hein ! …— Comme ça, tu pourras raconter … puisque c’est ce que tu aimes faire … Le cheveu en bataille, l’œil glauque, les traits tirés par une nuit plus qu’agitée, je ne comprends nullement ce que signifie cette phrase sibylline et décide de me laisser faire. Après plus d’une heure d’un chemin chaotique à souhait, à travers un paysage de steppes et de cailloux, nous voilà au cœur de l’Islande. Dehors, le froid est vif. Le ciel couvert et noir, un vent aigre balaie l’herbe rase. Il nous faut encore marcher un bon moment, en monté pour atteindre l’un des lieux préféré de Martha. Nous dominons une vaste cuvette où brille en contre bas un lac, reflétant le noir du ciel. Dans le fond, sur une hauteur impressionnante, un immense front de glace aux reflets bleu turquoise à vert émeraude. Autour du lac, quelques mares boueuses. En s’approchant, une forte odeur d’œuf pourri s’en dégage. — C’est du soufre …— Pouah ! C’est une horreur …dis-je en fronçant le nez. A la surface, viennent éclorent de grosses bulles. Elles gonflent, gonflent et lorsqu’elles ont atteint la grosseur d’une soupière, elles éclatent dans ...
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