Martha, la fille de feu et de glace (2)
Datte: 27/01/2018,
Catégories:
f,
fh,
vacances,
voyage,
collection,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
... connaître la sanction … — Qu’est-ce que je peux faire pour me faire pardonner ? Martha semble être totalement et soudainement absorbée par sa conduite. C’est vrai que la route ne se prête pas tout le temps à de longues discussions, tant elle a de nids de poules, qu’elle est étroite et qu’elle tourne et vire tout le temps. Décidé à être fixé sur mon sort rapidement, j’insiste. — C’est pour cette raison que tu m’as invitée ici ?— Ouais … et puis parce que je suis tombé en amour … comme dit Pierrot, un copain Canadien. Je respire ! Pas de mauvaise nouvelle en perspective … et même … mais oui, finalement, que des bonnes nouvelles ! Décidément, je me sens veinard, heureux et tout d’un coup l’Islande et ses immensités semi-désertiques me semblent le plus beau pays du monde… et les Islandaises … de superbes nanas … la vie est belle … Martha, tout en conservant une conduite prudente, me regarde à la dérobée et constate que je souris et crois devoir ajouter : — Ne crois pas t’en tirer à si bon compte … c’est pas parce que j’ai un petit béguin pour toi que tu es gracié et il va falloir que tu sois bien sage ! Il va falloir que tu te fasses pardonner … hein ! Mon petit journaliste français !— Sage ! mais je suis toujours sage, moi…— Ben …alors, on verra… répond-t-elle laconiquement en reprenant l’anglais. Le reste du voyage se déroule sans incident majeur ni retour sur le sujet, au milieu d’un paysage de plus en plus minéral. Et c’est toujours avec le soleil, malgré l’heure tardive, ...
... que nous débarquons dans une ancienne petite maison de pêcheur, en bordure du port d’Husavik. Martha ne dispose que d’une seule chambre, dont le principal meuble est un immense matelas, posé à même le sol. À peine la porte refermée et mon sac de voyage déposé sur le parquet, nous nous précipitons dans les bras l’un de l’autre, en nous étreignant avec fougue. Martha, tout en m’embrassant profondément avec sa langue, en profite pour me déshabiller totalement et en un tour de main, je me retrouve nu comme un ver, la virilité fièrement flamboyante, montrant que je ne reste surtout pas insensible au charme islandais et que je sais répondre aux déclarations d’amour. De mon côté, je m’évertue à la débarrasser du minimum de vêtements qu’elle porte … et très vite, nous nous retrouvons, enlacés sur le matelas. Martha prend immédiatement les initiatives. Elle s’ingénie, tantôt du bout de la langue, tantôt avec l’ourlet de ses pulpeuses et douces lèvres à n’omettre aucun centimètre carré de mon corps qui, sous ce traitement, devient aussi sensible qu’une corde à violon. De la pointe de mes seins, en passant par mes lobes d’oreilles, sans oublier mes doigts et mon sexe, Martha s’ingénie à m’électriser, m’exciter, en rendant sensible chaque millimètre de ma peau, comme des milliers de zones érogènes. Lorsque ses lèvres s’ouvrent pour me recueillir dans sa bouche, à la fois torride et fraîche, le contact de sa langue m’envoie une longue décharge dans les reins et j’ai l’impression que je vais ...