Martha, la fille de feu et de glace (2)
Datte: 27/01/2018,
Catégories:
f,
fh,
vacances,
voyage,
collection,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
... doigts disparaissent dans le creux de sa raie et je les vois l’écarter pour s’enfoncer là où doit se trouver son petit trou … Je distingue parfaitement bien les longs doigts qui entrent et sortent, vont et viennent, vrillent le petit trou de Martha tantôt doucement, tantôt rapidement. Sous la poussée de la main, le bassin accompagne le mouvement et ondoie. Martha respire de plus en plus fort. Elle ahane. Elle crie. Elle hurle. Ses fesses se contractent violemment sous la pression de ses doigts, la main cesse son va-et-vient et ne bouge plus. Sa tête retombe sur l’herbe fraîche. A moins de deux mètres de moi, Martha vient de jouir sous ses doigts. Je reste là, impuissant. Excité, intellectuellement, mais incapable de faire agir le moindre muscle de mon corps … Et en quelques secondes, Martha semble reprendre vie. Elle redresse la tête et me jette un regard de défi … — Dommage, c’était trop bon … Et puis, tu sais, la boue est non seulement un super lubrifiant mais en plus c’est bon pour la peau …— … Désolé, peut-être la prochaine fois …— On verra … Elle sort la première de la fange et m’aide à me tirer de ce bain … Bizarrement, je ne sens plus le froid sur mon corps, enduit de boue. Tous les deux couverts du menton aux pied d’une croûte marron, elle me tire vers elle et m’embrasse à pleine bouche. Le contact étrange de son corps glissant et luisant, la scène que je viens de vivre réaniment enfin ma flamme… la boue qui déjà commence à sécher sous l’effet du vent, se craquèle ...
... au niveau de mon sexe qui grossit, durcit et pointe sa virilité sous l’œil amusé et goguenard de Martha. — Allons nous rincer … Je la suis, fait quelques pas en direction d’une cuvette où, l’eau claire et transparente offre un refuge rassurant … — Viens, fait comme moi et suis-moi … Martha, tout en me tenant fermement par la main, avance dans l’eau. Je pose un pied … Aie ! Ouille ! C’est chaud … C’est brûlant … Mais Martha ne me lâche pas … Tentant de remonter, je glisse sur le fond et … plouf ! J’y rentre, contre mon gré, jusqu’au cou. J’ai de l’eau chaude jusqu’au-dessus du menton, je ferme les yeux, tente d’attraper une bouffée d’air … l’eau brûlante entre par ma bouche, par mon nez et brûle mes poumons et mon estomac … Heureusement, la main secourable de Martha me ramène jusqu’à elle … J’ouvre les yeux, furieux et la voit rire à gorge déployée … Un peu de boue séchée se détache de ses seins sous ses tressautements d’hilarité … — Pas sympa … c’est horriblement chaud … ça brûle … dis-je, vexé.— Attends, ton corps va s’y habituer … Elle m’a lâché et se nettoie, consciencieusement, frotte son corps qui réapparaît, tanné par le soleil … Propre, sous toutes les coutures, alors que je passe mon temps à surtout ne pas bouger, de l’eau jusqu’aux épaules, tant le vent glacial me donne l’impression que je vais être transformé en congère, si je sors mes épaules d’un seul centimètre, j’en profite pour continuer à reluquer Martha… — Viens t’asseoir là … Ici, je peux bouger. Mon corps ...