Einstein (4)
Datte: 27/01/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Fin de disette et soumission ! Dans la pièce occupée par les deux amants, Victor ne bronchait plus. Il n’avait pas pour autant délivré sa partenaire. Elle reprenait son souffle doucement. Toujours en appui, les seins sur la table, elle respirait doucement alors qu’une odeur de cul envahissait le salon. Lui était encore tendu, réservant son éjaculation pour une autre prise de Maryse. Il lui cajolait les fesses et elle remuait la croupe comme piquée par des guêpes. Il savait parfaitement qu’à son âge il serait très compliqué de bander deux fois dans la même soirée surtout après s’être vidé les couilles. — J’aimerais un verre d’eau s’il vous plait, ou alors libérez mes bras pour que j’aille me servir. — Vous avez des verres dans votre cuisine ? Dites-moi simplement où ils se trouvent. — Dans le placard juste au-dessus de l’évier, vous ne pouvez pas vous tromper. — Je vais vous chercher cela... Elle l’entendait qui fouillait dans le placard et l’eau du robinet qui coulait lui apprenait qu’il allait revenir. Elle avait aussi son bandeau sur les yeux et ne pouvait rien voir de ce qu’il faisait de toute façon. Elle perçut aussi le bruit de la porte-fenêtre et immédiatement les pas de Einstein qui s’étaient précipités vers le salon. Il tournait autour d’elle et sa présence l’indisposait vraiment. Pourvu qu’il ne montre rien de ses envies, elle aurait l’air de quoi ? Mais c’était mal connaitre les animaux. Le chien sans malice venait de planter son museau contre ses fesses et elle ...
... tressaillait. Sous son masque elle se sentait devenir rouge de honte. Victor devait bien imaginer que s’il faisait cela, ce cabot n’en était pas son coup d’essai. — Einstein ! Arrête ! Bon sang, tu vas finir oui ? — Il a l’air d’apprécier votre odeur, enfin la nôtre à tous les deux sans doute. Vous n’avez jamais songé à... — A quoi ? — À en faire votre amant ! C’est bien plus fidèle que les hommes les chiens et c’est facilement disponible, une fois dressé. — Vous êtes fou ? Quel drôle d’idée ! — À le voir s’exciter contre vous, on pourrait croire qu’il a envie de vous. Et de plus, vous ne pouvez pas le voir, mais si vous saviez comme il bande en ce moment. — Remettez-le dans la pelouse s’il vous plait. — Vous n’aimeriez pas que je vous apprenne et à lui aussi par la même occasion ? Vous me faites confiance ? — Ma position et après ce qui vient de se passer entre nous, comment pouvez-vous me poser cette question ? — C’est vrai ! Alors, laissez-moi faire ! Si ça ne vous convient pas, nous arrêterons de suite. Mais au moins aurez-vous essayé une fois. — Essayer quoi ? Qu’est-ce que vous voulez faire ? Pas avec le chien, non, s’il vous plait... pas cela. — Vient là mon beau. Attends. C’est cela, recule un peu et... — Mais enlevez-moi mes liens et ce bandeau qui m’aveugle ! Je veux savoir ce que vous faites. — Pour le bandeau d’accord, pour les menottes, pas tout de suite. Je suis certain que vous allez jouir comme une folle. Il en a une bien plus grosse que la mienne. De quoi en ...