Einstein (4)
Datte: 27/01/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... faire un complexe d’infériorité. D’une main il arrachait le masque et Maryse le voyait qui tenait le sexe de son chien par la base. La grosse bite violacée de la bestiole était tournée vers ses fesses. Il faisait lentement reculer le clebs et il l’encourageait à monter sur le dos de la brune. — Allons viens ici ! Vas-y, je vais te guider, vas-y mon beau. — Mais non ne faites pas cela. Pas le chien ! Nonnnn ! Mais perdu dans son délire, Victor avait déjà dirigé la pine vers la chatte de sa maitresse. Et la bestiole poussait du ventre, excité par son envie. À cet instant elle devenait sa femelle et la langue sortie, il tentait vainement de la monter. Seul, il n’y serait sans doute pas parvenu, mais c’était sans compter sur l’aide extérieure de l’homme qui serrait la base de son pénis. Il menait littéralement la queue dans l’orifice de Maryse. Elle poussait comme un cri rauque alors que la chose incroyablement dure la pénétrait. Les grands coups sans trop de coordination du toutou envoyaient son sexe dans celui de la brune. Et cette pine se trouvait être bien plus conséquente que celle de l’homme qu’elle avait ramené chez elle. Alors qu’il tenait toujours la base du sgègue du clébard, de son autre main il faisait tourner dans l’anus de Maryse la rosbud qui y était encore fichée. Einstein la sautait depuis un long moment et elle hurlait comme une louve. Mais quand Victor lâcha la bite qu’il tenait, l’animal se trouva éjecté immédiatement de la chatte. Il tentait une seconde ...
... saillie, mais sans aide il n’y parvenait plus. Alors il se couchait sur la moquette à deux pas de sa maitresse, toujours menottée à sa table. Derrière elle, Victor arrachait brutalement de son trou du cul le jouet et immédiatement le remplaçait par son propre sexe. Cette fois encore il la ramonait de belle manière. Elle serrait les dents, se laissant enculer sans trop de dommage. Tout en forçant les reins de la jeune femme, il lui maintenait la croupe de ses deux mains bien à plat. Sentit-elle son désir ? Ressentit-elle son éjaculation alors qu’il restait bien profondément ancré en elle ? Dans un « han » de plaisir, il s’épanchait enfin dans ce fondement qui le recevait. Il restait ensuite immobile, le temps que sa bite désenfle toute seule et sorte doucement, toute molle de cet arrière-train ravagé. Ni elle ni lui ne parlaient. Il se redressait et à l’aide de la clé, la libérait de ses entraves. Elle ne bronchait plus, avachie sur la table de salon. Einstein fit le tour de celle-ci et vint d’un coup à grands coups de langue, nettoyer les sécrétions qui coulaient le long des cuisses de Maryse. Elle ne faisait pas un seul geste pour le refouler, muette, passive, presque contrariée par ce qui venait de se passer. Quand enfin elle sortait de sa torpeur, Victor était rhabillé et la regardait avec calme et un large sourire sur les lèvres. Il s’approchait d’elle et essayait de l’embrasser, mais elle détournait le visage. Alors il lui déposait un baiser dans le cou et lui caressait la ...