1. Einstein (4)


    Datte: 27/01/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... joue. — Vous avez été merveilleuse. J’ai adoré ce que nous avons fait. Nous reverrons-nous ? — Je pense que non. C’était juste une envie passagère... — Je vous laisse tout de même ma carte et mon téléphone, on ne sait jamais... si un soir... — Je ne pense pas que je vous appellerai. — Sait-on jamais ? Il quittait ensuite le salon et elle entendait quelques instants plus tard, la voiture qui s’éloignait. Ce n’était qu’à cet instant qu’elle apercevait, sur le fauteuil, la valisette contenant tous les jouets du Monsieur. Elle songeait d’un coup que finalement, elle serait bien obligée de le revoir au moins une fois. Curieusement ça ne lui déplaisait pas plus que cela. Elle avait bien joui, et comprenait que désormais, elle pourrait elle aussi se servir de Einstein. Elle savait désormais comment s’y prendre avec lui. — oooOOooo — Durant quelques semaines, la soirée « Casino » resta inscrite dans la mémoire de Maryse, marquée comme d’une pierre blanche ayant rompu la monotonie de sa vie. Mais les bons souvenirs étaient aussi prompts que les mauvais à s’estomper. Victor n’avait pas tenté de la recontacter et de son côté, elle n’avait pas non plus levé le petit doigt pour le relancer. Alors quand un samedi soir la sonnette de l’entrée se mit à tintinnabuler, elle avait déjà oublié cet épisode pourtant agréable de son existence. En ouvrant la porte, elle se trouvait nez à nez avec un jeune homme inconnu. — Oui ? — Bonjour Madame ! Je viens de la part de Victor ! — De Victor ? — Vous ...
    ... savez, il m’a dit avoir oublié chez vous une petite valise et comme je passais dans votre secteur, il aurait souhaité que je la récupère. — Bien ! Vous pouvez attendre juste une seconde ? — Oui bien sûr ! Maryse surprise avait laissé la porte entrouverte et l’homme, relativement jeune, se tordait le cou pour entrapercevoir l’intérieur de la maison. Soudain devant lui, Einstein arrivait avec son air peu engageant. L’autre levait juste la tête, faisait un mouvement du bras et l’animal se figeait. — Houlà ! Tout doux mon beau. Tout doux ! Assis ! Allons ! Écoute ma voix ! Assis ! La brune qui revenait de son salon, le coffret à Bijoux à la main, voyait alors que Einstein se figeait au son de la voix de ce type. Elle le suivait un instant des yeux alors que son compagnon se mettait d’instinct dans la position demandée par l’inconnu. ierizzoh — N’ayez pas peur, il ne mord pas. — Oh ! Je n’ai pas peur, j’adore les chiens et j’en possède un moi-même. C’est mon travail, vous savez. — Vous travaillez avec des chiens ? — Oui ! Je suis « maitre-chien » ! Je les éduque et les rends très obéissants. Le vôtre me semble... un sujet intéressant. — Je n’ai pas vraiment besoin qu’il soit dressé. Il me convient bien comme il est. Donc c’est Victor qui vous envoie récupérer sa mallette ? — En quelques sortes... oui. — La voici donc. Vous voulez prendre un café ? — Non merci. Il m’a aussi dit de... En discutant gentiment, il venait d’ouvrir le fourre-tout et en sortait du fatras qu’il contenait, ...
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