Einstein (4)
Datte: 27/01/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... comme une vieille qu’il voulait se taper. Elle était près de sa table de cuisine et cherchait encore les mots pour répondre sèchement. Mais il avait avancé et la serrait désormais contre l’évier. Elle sentait confusément qu’elle perdait pied et qu’il allait arriver à la toucher. Son corps tout entier hurlait oui, alors que sa tête refusait cette éventualité. Quand il lui prenait la main, elle savait que c’était perdu. Elle tentait de se retourner, mais c’était justement ce qu’il espérait. Et alors que son ventre était pris en tenaille entre le corps du type et l’arrête de l’évier, elle sentait qu’il remontait sa jupe sur ses fesses. Et son chien qui était dehors, comment se défendre ? Sa culotte glissait sur ses cuisses, dévalait ses mollets et atterrissait sur ses chevilles, alors qu’une main déjà entrouvrait son derrière. La seconde main de l’homme avait rejoint celle de Maryse qui tenait le joujou. Et lentement, il venait de s’en emparer. Elle savait déjà ce que le garçon voulait faire et si son cerveau refusait cette idée, son ventre lui n’était pas aussi clair dans ses désirs. Elle mouillait abondamment avant même que la chose ne vienne caresser sa chatte. Il savait y faire ce saligaud et il frottait longuement l’objet sur sa fente avant de le faire pénétrer un peu, sans brutalité. Elle se sentait monter une envie folle de le gifler, mais tout autant de s’abandonner. Alors le rosbud qui glissait en elle la faisait tressaillir et soupirer. Elle sentait que ses ...
... muscles se détendaient, que sa chair avait perdu la partie. Il l’enfonça en elle le plus qu’il pouvait, pour mieux le ressortir. Et cette fois alors que d’une main il lui courbait le dos, elle savait que le cadeau allait trouver un autre chemin. Comme la première fois, il venait de se ficher lentement en elle, trouvant sa cible avec détermination. Le gaillard la lâchait enfin pour se frotter à elle et elle s’apercevait qu’il avait déballé sans qu’elle sache comment, sa marchandise. Une bite de bonne taille cognait sur la partie du bijou qui émergeait de son postérieur. Il se déhanchait en la maintenant délicatement contre lui. Puis d’un geste plutôt souple, il la retourna contre lui. Elle sentait sa bouche masculine qui venait à la rencontre de la sienne. Détournant les lèvres, elle se trouvait embrassée dans le cou pour ce goujat. Il l’attrapait ensuite sous les aisselles et la soulevait comme un fétu de paille. Ses fesses se retrouvèrent sur le plan de travail contigu à la pierre à eau. Et il venait d’écarter la fourche pour y planter son mufle. Elle se sentait envahie par une langue fouineuse qui commençait à aller et venir sur sa chatte. Celle-ci ne cachait plus rien de son humidité. Alors vaincue, elle se dit qu’après tout, autant en profiter. Quand il se redressa au bout de longues minutes, elle était prête pour la saillie. Il la mit en position ; le buste poussé vers l’arrière, le bassin débordant légèrement du plan de travail, il ne lui restait plus qu’à l’enfiler ...