L'artiste, la déesse et le mortel
Datte: 27/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... n'y a pas de problème... T'es pudique ou quoi ? - Ben oui, je suis pudique... un peu... Elles éclatèrent de rire, se jetant des regards complices. Ma gêne les amusait beaucoup. Je n'étais pas fier de moi, intimidé. Puis Nath alla dans sa chambre chercher les habits qu'elle avait trouvé pour la tenue de Graziella : une sorte de déguisement de déesse grecque. C'était une robe blanche, presque transparente, légère et assez courte, sans manche, avec une ceinture. Elle avait aussi trouvé un bandeau pour sa tête et des nu-pieds de cuir, avec de petits talons et des lanières montant jusqu’aux mollets. Nath fit remarquer qu'avec ses bijoux, sa coiffure et son rouge à lèvres, Graziella serait parfaite. Je ne doutais pas qu'elle serait absolument sexy dans cette tenue. Graziella, ravie s'exclama : - Oh mais c'est magnifique, où est-ce-que tu as trouvé tout ça ? - J'ai une copine qui travaille dans une boutique de location de costumes, elle me l'a prêté. C'est celui d'Aphrodite, je trouvais que c'était approprié. - T'as raison ! Quoi de mieux qu'un simple mortel implorant la déesse de l'amour et de la beauté ? Ouh mon rôle me plait beaucoup, je m'y vois déjà ! Je vais vite aller me changer... Elle s'absenta dans la chambre, me laissant seul avec Nath. Celle-ci me dévisageait, un sourire en coin, très coquin : - Bon, on va se mettre au travail. Toi aussi, il faut que tu te mettes en tenue... - Hummm... - Si tu préfères, tu peux aller te déshabiller dans la salle de bain, puis revenir ...
... avec mon peignoir. - Ouais d'accord, on va faire comme ça... En fait, au fond de moi, ça n'allait pas du tout. La peur au ventre, j'entrai dans la petite salle de bain. Il y avait des étagères remplies de produits de beauté, de parfums. Je décrochai le peignoir bleu du porte-manteau. Il était assez court, un vrai peignoir de femme. Je me dis que j'allais être ridicule dedans. Mais l'idée d'enfiler un vêtement aussi intime de la belle Nathalie sur mon corps nu, me fit bander aussitôt. Derrière la porte, j'entendis des exclamations, ce devait être Graziella revenant auprès de Nath. Mon cœur battant dans mes tempes, je me suis déshabillé avec hésitation, et enfilai le peignoir. Comme mon sexe durci dépassait, je l'enfilai sous la ceinture, et serrai celle-ci le plus fort possible. Respirant lourdement, je sortis de la salle de bain. Quand les deux femmes me virent arriver dans cette tenue ridicule, elles furent prise d'un fou rire, je me sentais humilié. A la vue de ma mine déconfite, elles s'adoucirent, et Nathalie tenta de me rassurer : - Excuse-nous, mais c'est vrai que mon peignoir est un plutôt court... pour un homme. - Ouais, j'ai l'air malin... - Viens à mes pieds mortel ! Viens rendre honneur à ta déesse adorée. Graziella était splendide dans son déguisement, ses formes avantageuses, ses jolis pieds, sa chevelure abondante étaient bien mis en valeur. Elle se prenait vraiment au jeu et semblait toute émoustillée. Avec l'aide du tableau original, Nath plaça Graziella en ...