L'artiste, la déesse et le mortel
Datte: 27/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... fonction de la lumière, se recula, puis l'aida à prendre la bonne pose. Puis elle me demanda d'approcher, me fit poser un genoux à terre devant la déesse. Inévitablement, le bas de mon peignoir s'écarta, et mon sexe bandé surgit d'entre les deux pans. Elles s'en aperçurent, avant que je puisse le recouvrir. Rouge de honte, je tentai de m'expliquer, tandis qu'elles riaient à gorges déployées : - Excusez-moi... C'est plus fort que moi, je n'arrive pas à me retenir... - Mais ce n'est pas grave mon petit mortel, c'est bien, tu fais honneur à ta déesse ! - Mais oui, ne t'en fais pas pour nous, on en a déjà vu d'autres ! - Et des grosses... Ha ha ha ! - Oui, des bien plus grosses... - Ne vous moquez pas comme ça, sinon j'arrête tout et je m'en vais ! - T'as raison, désolée. C'est juste qu'en voyant ta tête, ça donne envie d'en rajouter... Mais c'est promis, on arrête. Nathalie me manipulait, prenait du recul, jusqu'à ce que j'ai la pose parfaite. La déesse avait du mal à se retenir de rigoler. Puis l'artiste décida que son travail devait commencer. Délicatement, pour que je ne perde pas la pose, elle défit la ceinture de mon peignoir, et le retira, me laissant dans le plus simple appareil. J'avais froid et j'arborais un sourire gêné tandis que leurs yeux se portaient par réflexe sur mon sexe en pleine érection. Leurs regards me chatouillaient le gland, mes couilles fourmillaient. Elles pouffaient, ravalant leur fou rire, pour ne pas me vexer. J'essayais de penser à des choses les ...
... plus tristes possibles, pour faire taire cette irrésistible érection, mais sans succès. Nathalie, après avoir installé son chevalet, me dit : - Bon c'est très bien, vous avez la pose idéale. Mais la déesse, sil-te-plaît concentre toi, et arrête de rigoler comme une baleine, il faut que tu ais un air plus rêveur. Et toi le mortel, si je te dessine dans cet état, je vais avoir du mal à présenter mon œuvre à mes profs ! Hi hi hi ! Concentre-toi un peu, pour faire redescendre la pression... - Je fais ce que peux, sois en sûre ! - Oh non s'il-te-plaît, mon petit mortel, reste comme ça... Moi j'adore ! Nath, tu n'as qu'à inventer pour dessiner cette partie-là. - Mouais, pourquoi pas, je verrai ce que je peux faire... Tenir la pose était vraiment très difficile : crampes, fourmis, fatigue... L'artiste était sérieuse et concentrée, la déesse était hilare. Cette dernière devait regarder un point au-dessus et derrière moi, mais sans cesse elle baissait son regard vers mon entrejambe, puis revenait me fixer avec un sourire provoquant. Elle faisait tout pour me déstabiliser, et elle y arrivait très bien. Quant à moi, je devais fixer mon regard aux alentours de ses seins, ce qui ne m'aidait pas à faire redescendre la pression, selon l'expression de l'artiste. Elle ne portait pas de soutien-gorge, et sa robe était tellement fine... De temps en temps, je jetais un coup d'œil vers ses jolis pieds, à quelques centimètres de mon sexe. J'imaginais l'artiste, détaillant chaque parcelle de mon ...