Lazarius et l'antiquaire (6)
Datte: 28/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Joignant sans attendre le geste à la parole, ma main droite claqua assez fortement sa fesse homolatérale et y resta appuyée deux bonnes secondes comme pour en apprécier le moelleux et absorber la chaleur nouvelle que je venais d’y produire. Elle avait poussé un petit cri venu du fond de la poitrine. La seconde tomba sur la même fesse un peu plus bas, et exerça la même pression prolongée avant de reculer et de recommencer un peu plus à l’extérieur. Je la fessais avec la main largement ouverte en signe de possession comme si celle-ci s’en arrogeait la pleine propriété. C’est vrai que j’avais envie de ce gros fessier, plantureux, bien épanoui, envie de parcourir sa chair sur toute sa surface, et même son épaisseur. Alors vicieusement, en prenant bien mon temps, à un rythme égal, lent et régulier, je claquai uniformément la fesse droite puis la gauche, osant même monter tout près des reins, bien que plus doucement car la peau étant plus tendue et moins grasse, la douleur peut être intense. En fesseur expérimenté et même expert en la matière, je sais exactement comment doser les claques pour qu’elles soient bien ressenties, qu’elles provoquent juste ce qu’il faut de cuisson mais pas de douleur lancinante et insupportable. Un bon fesseur doit aussi se caler sur les réactions de sa partenaire, mais aussi les anticiper et aussi savoir faire sans. Et ma belle blonde aux cheveux bouclés ne s’était pas encore montrée très "démonstrative" jusqu’à là. J’aurais pu avoir la faiblesse de ...
... croire que ma fessée ne lui faisait pas beaucoup d’effet, qu’elle était trop en deçà du seuil de sa douleur, mais elle poussait quand même des petits "HA" secs qui montraient que la sensation la secouait, sans être insupportable. Afin de vérifier ma théorie, je me mis à accélérer et à lui administrer des claques un peu plus fortes et plus sèches sans laisser, cette fois, ma main en appui ; l’effet est garanti et provoque une sensation de cuisson qui devient rapidement intense. Ma belle antiquaire ne mit pas longtemps à réagir et se mit à pousser des petits cris dès la cinquième claque. Sa belle chair qui avait été à peine rosie et avait pris l’empreinte de mes doigts se mit à prendre une teinte franchement rouge. Je fis une petite pose et admiratif, la félicitai sur son anatomie : " - Vous avez vraiment un beau cul, Madame l’antiquaire ! Et je suis un connaisseur ! Il est développé à souhait, avec des fesses aux formes comme je les aime, épanouies, pleines, opulentes… humm… la perfection… à mon sens ! — Merci" répondit-elle, émue. — C’est vraiment un plaisir de vous fesser. Votre cul est vraiment une pièce de choix pour un fesseur tel que moi. Je suis ravi que vous ayez souhaité tenté cette expérience. Mais bon, assez parlé... Vous ne demandez pas encore grâce, je peux continuer…? — Ou… oui… pas trop fort… — Faites-moi confiance. C’est moins douloureux qu’avec la strappe, n’est-ce pas ? — Ah oui, c’est sûr ! — Alors continuons. Mais nous ferons les pauses qu’il faut pour que ...