1. Lazarius et l'antiquaire (6)


    Datte: 28/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... avais montré qu’elle m’appartenait, que tout ce que je touchais m’était accessible et disponible, et elle ne protesta pas ni n’émit aucune plainte, me confirmant ce que je venais d’indiquer par ce geste, me prouvant que j’avais raison, et à savoir qu’elle serait toute à moi ! Conforté dans cette conviction, encouragé par sa passivité, sa docilité, et les réactions physiologiques qui prouvaient qu’elle appréciait mon traitement, de plus en plus excité par cette grosse poule qui m’avait offert son généreux corps l’air de rien, d’un ton très autoritaire je lui ordonnai : " - Allez, foutez-vous entièrement à poil maintenant ! Je vais vous fesser en travers de mes genoux !" Elle ne discuta pas, je vis dans ses yeux pendant un dixième de seconde de la surprise (bien qu’elle pût alors s’attendre à tout de ma part, du moment que j’eus son consentement, ou plutôt son acquiescement tacite), yeux qu’elle baissa aussitôt, et regardant vers le sol, d’un air honteux ou gêné (était-ce la honte ou la gêne à prendre du plaisir à se prêter à mon jeu, à recevoir des ordres et m’obéir sans discuter, à m’offrir son corps gras et mûr sans rechigner, plus que de la pudeur ?) Elle finit de descendre ses bas jusqu’à ses pieds, ouvrit sa ceinture qu’elle enleva, retira sa robe par le haut, dégrafa son soutien-gorge et se retrouva devant moi nue comme au premier jour, m’exhibant son corps potelé et replet bien blanc. Elle leva ses yeux vers moi, un peu penaude, et son regard interrogateur était doux et ...
    ... soumis. " - Remettez vos jolis escarpins à talons hauts, vous serez encore plus bandante comme ça." Elle rechaussa ses souliers vernis et brillants, tandis que, sans la toucher, je m’assis confortablement dans le fond du canapé et lui ordonnai : " - A plat ventre, en travers de mes genoux !" Elle s’allongea, maladroitement, gênée de cette proximité et du contact de nos deux corps, et je dus la faire se repositionner plusieurs fois afin que son somptueux fessier déjà rougi soit bien dans la juste trajectoire de ma main. Je sentais la chaleur de son ventre étalé sur mes cuisses, et je ne savais pas si son flanc allait sentir le bâton dur qui était de plus en plus à l’étroit dans mon pantalon. Je posai ma main gauche sur sa large taille, m’installant bien confortablement. Nous étions positionnés idéalement pour son tannage de cul. Je commençai à caresser doucement sur toute sa surface sa mappemonde dont la peau était déjà bouillante. Mon pouce s’immisçait de plus en plus loin dans le profond sillon de cette belle pêche. Je voyais ses seins plantureux écrasés sous son torse. Tout son corps voluptueux était un appel au plaisir. De ma main gauche je caressai doucement son dos, avec une sensualité rare. Puis, mettant fin à ce tendre intermède (en conformité avec mes règles selon lesquels il faut alterner douceur et sévérité), je me mis à la fesser lentement, fermement, avec application, et méthodiquement. Je m’interrompais souvent, la laissant reprendre son souffle. Elle se mettait ...