1. Lazarius et l'antiquaire (6)


    Datte: 28/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... vous ne saturiez pas… et que vous ayez bien le temps de sentir monter la cuisson dont je vais vous gratifier…" Je recommençai à un rythme lent puis variable, prenant bien soin d’alterner le site choisi pour l’impact de ma main, ainsi que la façon de lui claquer sa chair, tantôt de façon appuyée, tantôt sèchement, en effleurant à peine la peau. Selon la force de la claque elle poussait des geignements brefs, à peine sentis, tantôt des cris de surprise sous mes claques un peu vaches. Son volumineux fessier prenait peu à peu une délicieuse couleur tomate, avec des stries un peu plus sombres. Je commençai vraiment à avoir envie de son cul. J’arrêtai un instant, comme promis. Elle s’était un peu avachie, le torse vautré sur le dossier du fauteuil. Je descendis ses bas jusqu’au pli du genou, lui déclarant : " - Vous avez aussi des belles cuisses. Elles seraient jalouses si je ne les traitais pas de la même façon… — Aïe… la peau est sensible, là… Doucement. — Je sais doser. Je connais parfaitement l’anatomie, et encore plus l’anatomie féminine, ma belle" dis-je en lui caressant la peau on ne peut plus douce du derrière de ses cuisses, comme pour la flatter, mais surtout pour le plaisir de ce contact avec une telle surface fraîche et satinée. " Et je dois dire que vous avez des magnifiques cuisses, elles ont une forme splendide, une surface parfaite… Je dois dire que si j’étais votre amant j’aurais plaisir à vous voir vous promener avec des robes et des jupes courtes, en bas et en ...
    ... bottes. — Oh, jamais je n’oserais ! Vous savez comme les femmes sont dures entre elles, je me ferais moquer et me prendrais des remarques acides… — Si vous étiez à mon bras, elles n’oseraient pas…" Puis je me mis à les lui claquer doucement. Sa peau fine était sensible, elle cria un peu, sursauta parfois. J’alternai cuisse droite, cuisse gauche, la peau rosit doucement. J’interrompis. Je fis glisser la culotte en dessous de ses genoux, lui ôtai complètement. Puis lui ordonnai de bien ouvrir les cuisses, ce qui me permit de mieux en claquer l’intérieur, mais aussi d’examiner juste après, et sans ménager sa pudeur, les lèvres de son sexe que j’entrouvris ; d’abord les grandes, charnues, bronzées, puis les petites, fines et délicates, délicieusement ourlées, rose vif et perlées de sa rosée qu’elle continuait à secréter, sous l’effet de mon regard inquisiteur et vicieux. Enfin, je lui entrouvris les fesses, puis les lui écartai mieux afin de contempler avec un air consciencieux et concentré son petit œillet bistre. Elle ne broncha pas, mais elle devait bien ressentir l’humiliation de cet examen. Le petit cratère froncé était néanmoins impeccable, absolument propre et net de tout poil. Je mouillai mon index et du bas des reins je le fis glisser lentement, bien au fond du sillon fessier. Il passa sans s’arrêter sur la rosette (à ce moment-là, je sentis qu’elle frissonna), puis descendit en glissant sur la fente vulvaire. Je me retins pour ne pas la doigter. Mais par ce geste je lui ...