Lazarius et l'antiquaire (6)
Datte: 28/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... à crier rapidement dès le début des claques (poussant des cris brefs et excitants) et encore plus quand je me mettais à accélérer méchamment, répartissant les claques sur toute la surface des fesses et des cuisses, alternant, changeant ; je m’efforçai de la surprendre, bien qu’objectivement, elle n’avait même pas le temps d’anticiper, de deviner où la suivante allait tomber : pour elle le résultat était le même, c’était un déluge brûlant qui s’abattait sur ses pauvres hémisphères, et je voyais avec émotion les ondes de choc se propager dans sa chair grasse et remonter jusqu’à ses flancs plantureux. Emporté par mon excitation je lui lançai avec enthousiasme, presque joyeusement : " - Vous savez que j’adore fesser les bourgeoises, surtout quand elles sont grasses et un peu avachies, quand on sent qu’elles ont bien profité comme vous ?! — Aïe ! Aïe ! AAH ! — Oui, j’adore punir les bcbg mûres et vicieuses comme vous, surtout quand elles ont l’air de ne pas y toucher, et qu’elles s’amusent l’air de rien, à m’allumer, sans leurs airs ! — Ouille ! Aïe ! HAA ! — J’adore les femmes au corps gras et aux formes bien épanouies comme vous, au cas où vous ne vous en seriez pas aperçue, bien-sûr… ! J’aime… j’adore en avoir plein les mains ! Que ce soit pour les fesser ou les palper, les peloter à pleines pognes !" Elle ne répondit pas à toutes ces remarques, ne relevant même pas l’ironie de mon propos. Il faut dire qu’elle était concentrée sur la cuisson de ses fesses, la sensation de ...
... brûlure de ses cuisses… Interrompant un instant ma claquée et comme pour corroborer ce que je venais de dire, je palpai fermement les chairs souples et rouge vif de ses larges fesses, pressant dans mes doigts des replis de peau grasse, allant jusqu’à peloter sans retenue les abondants bourrelets qui s’étalaient de son ventre en débordant sous moi : " - Et on peut dire, ma chère Madame, que vous êtes plutôt bien pourvue ! On voit que vous avez bien vécu… D’autant - il faut vous l’accorder - que vous êtes une excellente cuisinière." Ma forte antiquaire commençait à se trémousser sous l’action de mes doigts et réprimait des gloussements. " - Bon" annonçai-je d’un ton martial, "et si nous finissions cette punition ? Il est temps maintenant de vous administrer le coup de grâce… — Oooh…" se mit-elle à geindre, d’une façon plaintive et qui trahissait une appréhension. Je ne lui laissai pas plus longtemps redouter ce qui allait s’en suivre ; joignant le geste à la parole, je débutai le bouquet final : je me mis à faire pleuvoir une grêlée de claques fortes, sèches, éparses, réparties le plus également possible sur les fesses, le haut des cuisses, le gras de ses hanches, et j’eus bien du mal à maintenir son corps lourd sur moi, qui, pour le coup, avait retrouvé une nouvelle vigueur et des ressources en énergie insoupçonnées, puisqu’elle l’agitait en tous sens, et surtout avec des ruades vers le haut qui cherchaient à la libérer de mon emprise, tout ceci accompagné de cris déchirants, ...