La tempête de neige (1)
Datte: 18/06/2017,
Catégories:
Divers,
... revient lentement sur terre, ouvre les yeux, fixe son regard sur ma queue raide. Je n’ai pas joui car je me suis arrêté de me branler pour admirer le spectacle du plaisir que se donnait mon hôtesse. — Alors? Qu’en dis-tu? — C’était sublime. Je n’ai jamais rien vu d’aussi beau. C’est merveilleux une femme qui jouit. Il n’y a rien de mieux au monde. Je ferai attention à l’avenir. Tu m’as appris aujourd’hui quelque chose que j’ignorais. Merci. J’étais loin de m’imaginer que j’aurais aimé cela et surtout que cela m’eût autant impressionné. C’était réellement sublime. Je t’ai vue trembler; j’ai vu tes yeux bleus virer au vert foncé et se révulser au moment de ton plaisir. J’ai vu ta bouche s’ouvrir et se fermer, ta respiration haleter, ta peau se couvrir de petites plaques roses et tes bouts de seins durcir comme des cailloux. — Je suis heureuse aussi que tu aies pu apprécier le plaisir que je ressentais. Je suis rassurée parce que je me demandais si j’étais encore capable de faire bander un homme rien qu’en me secouant la chatte. Mais toi? Mon pauvre chéri, tu n’as rien eu. Viens que je te fasse du bien et que je prépare ta belle bite à son voyage au pays de mon corps. — Comme tu veux, je suis prêt. — Tu me la mettras, dis, ta pine dans ma moule? Dis que tu me la mettras bien loin et bien fort. Oh! Chéri! J’ai envie de ta bite! Donne-moi ta bite! Ouiii! Donne- moi ta belle bite pleine de foutre. Oh ouiiii! Donne-la moi viiite. J’en ai envie. Tu m’as rendue folle de désir. ...
... Oooh! Je mouille comme une fontaine. Viens dans ma chambre, nous serons mieux. Elle me prend par le bras et m’entraîne vers sa chambre. Elle se colle à moi, me bécote le cou, joue avec ma bite toujours bandée. Jamais en montant dans le train je n’aurais imaginé que ma soirée devînt une des meilleures que j’aie eu depuis longtemps. Soudain je repense à Josée, à Carole, à Sophie, ma cousine, à Brigitte, la prof de math. Je les revois ouvertes, la chatte mouillée, les yeux brillants de plaisir et je me dis que Marie-Anne vaut chacune d’elles. Avec quelque chose en plus d’indéfinissable, une sorte d’expérience que même Josée n’avait pas, bien que mariée. Nous arrivons dans sa chambre aux murs tout décorés de petites esquisses érotiques représentant des scènes champêtres où de jolies jeunes femmes se font assaillir par des faunes et des satires tous mieux membrés les uns que les autres. Les queues démesurées des uns entrent profondément dans les chattes béantes des autres et je pense aux belles eaux-fortes que j’ai admirées un jour dans un album spécialisé. Surprise, le plafond est recouvert d’un grand miroir qui reflète les ombres que forment nos corps dans la demi-obscurité. — Préfères-tu la lumière ou la pénombre? Veux-tu te voir me faire l’amour? Ou préfères-tu l’anonymat des ombres? — Et toi? — J’aime bien me voir. — Allume, je veux te voir jouir de moi. Elle allume et une lumière rose presque sensuelle envahit la pièce. Marie-Anne se laisse tomber sur le lit, cuisses largement ...