1. La tempête de neige (1)


    Datte: 18/06/2017, Catégories: Divers,

    ... toute seule. — Vrai? Je suis la première? — Oui. Tu peux me croire. Va chercher ta biroute à moteur. — Ce n’est pas très joli, je préfère parler de la queue inerte. -Je crois que le souper refroidit. — Ce n’est rien, moi, je suis chaude et tu vas me déguster. Mais dis-moi, comment fais-tu quand tu es seul? Je suis curieuse de voir un homme se caresser la pine jusqu’à la faire juter. Montre-moi? — Ne serais-tu pas un peu vicieuse? — Oui, vicieuse et voyeuse. Allez, montre! — Et toi? Ça t’arrive de te caresser quand tu es seule? Je voudrais bien voir comment tu fais. — Je viens de te le dire. — Oui, avec un gode. Mais avec tes doigts? — Ça m’arrive aussi. Faisons-le ensemble. Mais toi, ne te fais pas jouir, sinon je n’aurai pas droit à ton jus dans ma chatte qui en a si envie. — Auparavant, as-tu le téléphone? — Oui. Pourquoi? — Je voudrais avertir mes parents que je ne rentrerai pas ce soir. Je ne veux pas qu’ils s’inquiètent. — Tu as raison. Viens, je te montre. Pendant que je téléphone au voisin des parents pour les avertir, Marie-Anne, nue s’est collée contre mon dos. D’une main, elle caresse ma bite qu’elle fait bander rapidement, de l’autre, je sens qu’elle s’asticote la moule. Je raccroche et tends mes mains vers son corps. Elle ne lâche pas ma queue pendant que j’essaie de l’aider à se branler la chatte. — Non. Laisse-moi me faire jouir toute seule. J’en ai l’habitude. Contente-toi de me sucer les seins et caresse-toi que je voie comment tu te branles la bite. Je me ...
    ... tourne vers elle, me penche pour happer un mamelon déjà durci par l’envie qu’elle a de se faire jouir. Sa main a écarté les lèvres de sa chatte et l’autre main titille le clito puis se plaque sur toute la fente et la masse de plus en plus vite. Je suce le bout des seins, ce qui la fait trembler. Ce qui ne m’empêche pas de tirer sur ma bite que j’astique de plus en plus. Je sens d’ailleurs que si je continue, elle n’aura qu’une demi-dose de foutre quand j’enfilerai sa moule pour y fourrer ma pine bien dure. — Regarde comme je me branle bien. J’ai passé mon bras libre sur ses hanches et lentement, je l’entraîne vers le divan où je l’étends. Je reste debout devant elle. Ses cuisses forment un angle très large et je vois son clito sorti de sa gaine. Elle le frotte du bout de son ongle, s’introduit trois doigts de l’autre main dans la chatte et s’astique au mieux. Elle gémit, me regarde d’un œil chaviré. Elle soulève son buste, devient rouge et soudain retombe d’un coup sur le divan. — Chéri, ça y est. Je vais jouir. Regarde-moi quand je pars. Ah! Que c’est bon! Ouiii! Regarde-...moi! Ouiii! Ça y est, je vais jouiiiir! Ouiiiii! Je jouiiiiis! Aaaaaaah! Ce que je vois dépasse ce que j’ai vu. Elle s’arcboute, son ventre se soulève violemment au moment de son cri. Ses yeux se révulsent et, de sa chatte, s’écoule un long filet de cyprine qui se répand sur le cuir du divan. Je me penche sur elle et l’embrasse. Elle répond à mon baiser par un baiser presque inconscient doux et humide. Elle ...
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