Les lundis de Cendrillon, ou le grand théâtre du désir (3)
Datte: 31/01/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
copains,
profélève,
volupté,
BDSM / Fétichisme
journal,
... cependant à venir. — Stéphane, pendant quelques minutes, tu peux la toucher. Elle t’y autorise… Touche-la, caresse-la. Et si nous sommes là à te regarder, ce ne sera pas par voyeurisme, mais parce que nous sommes au théâtre, et pas dans un rendez-vous privé. Stéphane eut un petit sourire timide, comme s’il s’excusait de ce qui allait arriver. Il commença par me prendre la main. Après m’avoir jeté un dernier regard gêné, il porta à sa bouche le dos, puis la paume de ma main, qu’il embrassa avec beaucoup de délicatesse. Jusque-là, c’était simplement charmant. Mais Franck était toujours dans mon dos, me serrait toujours les épaules, comme s’il voulait désormais surtout m’empêcher de m’enfuir, et cela ne contribuait pas à ma sérénité. Stéphane s’enhardit à m’embrasser les bras, en commençant par le poignet, puis en remontant progressivement. La scène était muette. J’étais trop crispée, alors, pour éprouver un véritable trouble. Et Stéphane lui-même semblait m’embrasser sans y croire. — Ça ne va pas, lança Franck. Tout est figé, bloqué ; vous êtes tendus tous les deux. Stéphane, bon Dieu, ce n’est pas la Vénus de Milo que tu embrasses, c’est une femme, une femme de chair ! Caresse-lui les jambes ! Je commençai à ne plus trop les sentir, mes jambes, lorsque Stéphane, agenouillé, posa sur les chevilles ses deux mains chaudes. Lorsque ses doigts s’approchèrent de mes genoux, j’eus du mal à retenir un mouvement de recul. Ma jupe était si courte, quelle sotte provocation ! Jusqu’où ...
... allait-il pousser l’audace ? J’eus l’espoir (mais était-ce un espoir ?) qu’il s’arrêterait à mes genoux, car il sembla un moment sur le point de rebrousser chemin. Mais c’est alors que Franck s’en mêla : toujours placé dans mon dos (mais jusque-là à quelques centimètres de distance), il se colla soudain contre moi, et je sentis, oh mon Dieu ! son ventre et son sexe dur à travers son pantalon de toile, plaqué contre mes fesses, et sa main se poser sur l’intérieur de ma cuisse, à l’exacte limite de ma jupe. Je ne pus m’empêcher de pousser un cri de surprise : « Franck, comment… ? » Mais la question indignée que j’avais eu l’intention de lui poser mourut sur mes lèvres, par peur du ridicule. Stéphane l’avait imité et avait posé sa main sur l’intérieur de mon autre cuisse. Et je me retrouvai, chancelante, avec deux hommes collés à moi dont les mains menaçaient de s’introduire profondément sous ma robe. Elles dépassèrent de quelques centimètres la limite du tissu, s’introduisirent dans des zones plus tièdes, plus moites, et, vu la longueur de la jupe, cela signifiait qu’ils étaient à moins d’une largeur de main de ma culotte ! Et toujours la rigidité de l’étreinte de Franck dans mon dos, qui me bouleversait ! — Tu vois, Stéphane, elle te laisse faire, elle me laisse faire ! En ce moment, elle n’est plus la prof distante et autoritaire qui t’impose de la vénérer. Elle est une femme : sens comme il fait chaud à l’intérieur de ses cuisses. C’est de la chair, de la sueur, des frissons, ...