1. Les lundis de Cendrillon, ou le grand théâtre du désir (3)


    Datte: 31/01/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, copains, profélève, volupté, BDSM / Fétichisme journal,

    ... c’est vivant, ça frémit ! Nous pourrions même encore faire monter nos mains, si nous le voulions, nous atteindrions des parages encore plus magiques, encore plus brûlants, mais nous n’allons pas le faire, ce n’est pas le but… Oh, Seigneur ! s’ils l’avaient fait, s’ils avaient eu l’audace de poser la main sur mon slip, de toucher mon intimité à travers la soie fragile, aurais-je eu le courage de les repousser ? Cette question me taraude encore. Car, à ce moment, je sentais qu’il se passait en moi des choses qui n’auraient pu leur échapper… Toujours est-il que, quand il retirèrent leurs mains, à l’initiative de Franck, j’éprouvai comme un lâche soulagement. Je crus que l’épreuve était terminée. Il n’en était rien. — La chaleur, tout est là. Il faut que tu comprennes, Stéphane, que ta prof n’est pas une statue froide, mais une femme, il faut que tu te familiarises avec sa chaleur. Levez les bras, Valérie. Regarde ces aisselles, Stéphane, dans cette pose, elle ressemble à cet admirable tableau de Chasseriau qui représente Esther à sa toilette, les bras levés, je ne connais pas d’aisselles plus tentantes que les siennes… Mais ce n’est pas un tableau, Stéphane, rapproche-toi, plonge-toi dans ces aisselles, respire leur odeur… Mes aisselles, comment savait-il tout cela ? J’adore qu’un homme y plonge son visage, surtout quand elles sont douces et lisses comme elles l’étaient ce soir-là. Depuis longtemps, d’ailleurs, mon mari m’a interdit l’usage des déodorants trop forts : « C’est ...
    ... ton parfum intime que je veux capter, me dit-il toujours, pas celui d’une marque de parfum que d’autres peuvent se procurer. C’est ton essence, ta singularité que je désire, et c’est dans l’odeur de ton corps que je la trouve. » J’ai appris à connaître grâce à lui le pouvoir aphrodisiaque de ce geste tout simple qui est d’offrir ses aisselles à l’homme qui vous désire. Franck semblait l’avoir deviné. Il était toujours indécemment collé contre moi tandis que Stéphane s’exécutait cette fois avec un empressement qui n’avait plus rien d’hésitant. Il avait plongé tout son visage dans mes aisselles chaudes et soyeuses, passant de l’une à l’autre ; il poussa l’audace jusqu’à les lécher, oui, les lécher, lécher les aisselles de sa prof de philo, mon Dieu ! et les respirer comme une drogue, et cela me fit trembler, rougir, j’étais au bord de la pâmoison… Et Franck qui avait posé les mains sur mes hanches, et dont je sentais encore la pression physique contre mon dos et mes fesses… A ce moment, je jetai un regard désemparé aux deux filles, qui ne perdaient pas une miette du spectacle. Je vis dans leurs yeux un intérêt passionné pour l’étrangeté de la scène : leur ex-prof, celle qui leur avait tant appris, celle qui leur en avait tant imposé, se laissant manipuler, palper, tâter par deux jeunes gens, leurs amis… Hélène me souriait d’un air singulièrement grave ; les yeux de Chérifa pétillaient. Et moi, je devais être pitoyable, trahir à chaque instant le trouble qui me submergeait. J’eus, ...
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