1. Lettres d'une femme mariée - 8


    Datte: 04/02/2018, Catégories: Collègues / Travail nympho, collection, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, confession,

    Rappel du thème général : Une femme s’engage auprès de son nouveau patron dans une relation torride avec « l’obligation » de relater à son mari les circonstances de sa mise en abîme par lettres différées.(voir les « Lettres d’une femme mariée » n°1 ;2 ;3 ;4 ;5 ;6 ;7) vendredi 29 mai Mon savoureux mari, Je ne m’attendais pas à cela au début, mais je réalise qu’il m’est de plus en plus difficile de tenir mes engagements à te relater « toute la réalité » de ma relation avec Michel. Bien sûr, dès le début, quelles que soient ma volonté et mon application, je ne pouvais en définitive te décrire la totalité de mes expériences avec lui. J’avais le désir pour toi, pour lui, mais aussi pour moi-même de laisser une trace sur le papier de ce qui me paraissait essentiel… mais qui était souvent indicible dans notre relation. Par cet exposé quasi quotidien, j’espérais au moins pouvoir te rapporter fidèlement l’ensemble de nos rencontres. Je réalise aujourd’hui que cela me devient impossible. C’est une impossibilité matérielle, parce que j’y passerais trop de temps, mais également physique, puisqu’à ce rythme, je devrais bientôt y laisser toutes mes forces. Si je m’aperçois que je suis de moins en moins capable de lutter contre ce désir dévorant dont mon amant lascif est la source, je dois dans la relation de cette correspondance, chaque jour davantage faire des choix ! En outre, j’aurais l’impression parfois de ne rédiger qu’un catalogue de perversions érotiques, dont tu pourrais douter ...
    ... de la véracité ! Je peux seulement t’avouer que dans les descriptions de ce qui est devenu ma vie sexuelle… je suis bien souvent en deçà de la réalité ! Cette sexualité a pris une telle place en seulement un mois, que tu pourrais penser que ma vie se réduit à cela… faire l’amour… observer les autres le faire… attendre avec impatience le moment de pouvoir baiser moi-même… J’avoue que je ne sais quoi te répondre, car si j’arrive, je ne sais trop comment, à accomplir encore sérieusement le reste plus avouable de mon « travail », j’ai très vite ces « choses particulières » qui me trottent dans la tête… et pas seulement dans la tête, et qui me distraient de mes activités. J’ai évoqué, une fois, la similitude de ce que j’expérimentais, à une drogue que je venais juste alors de goûter. Je ne savais pas à quel point je me retrouverais si rapidement sous sa dépendance ! Il y a en effet désormais un décalage absolu entre ce que pourrait parfois me dicter la raison et le « choix » de mes actes. Je dois avouer que fondamentalement, je n’ai pas l’impression de faire le choix de grand-chose ! Depuis ce premier jour où Michel, lui, m’a choisie, pour que je travaille à ses côtés et que je lui sois fidèle d’une façon si entière, j’ai la certitude de ne plus décider de vraiment de rien. Comment expliquer, pour en revenir à cette journée de lundi, ce besoin irraisonné et irrépressible de me poster encore par deux fois près de cette porte pour m’inviter clandestinement au spectacle des débauches ...
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