Lettres d'une femme mariée - 8
Datte: 04/02/2018,
Catégories:
Collègues / Travail
nympho,
collection,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
confession,
... labourant le dos de ses ongles. J’y vis un petit jeu habituel entre eux et elle en redemandait. — Oui !… Continue comme ça !… Plus fort !… Sa voix quasi masculine et si veloutée, prenait enfin, sous l’effet de la jouissance, des intonations plus cristallines. Mais elle s’est subitement ressaisie, si l’on peut dire, en le suppliant de ne pas gicler en elle mais sur son cul, qu’elle avait d’ailleurs lui aussi ravissant… Lorsque j’ai vu les longues traînées blanches se projeter, puis couler sur son postérieur et le creux de ses reins, j’étais vraiment surprise. Comment faisait-il pour garder en lui autant de semence si peu de temps après avoir honoré une autre partenaire ? Mais cela n’avait pas vraiment d’importance. Je me trouvais maintenant captivée par le spectacle de ses mains utilisant cette crème, dont je connaissais la saveur odorante, pour la gratifier d’un délicieux massage, sur le bas de son dos, ses fesses, sans oublier de les glisser complaisamment dans la raie de son cul. Elle répondait gentiment à ces gâteries, qui provoquaient en elle des contorsions félines, comme l’aurait fait une femelle en chaleur, tout en faisant coulisser ses doigts autour de la hampe gluante de sperme qui pendait maintenant, quoique ferme encore, entre ses cuisses. Mais elle n’avait visiblement pas le temps de s’adonner à une extase contemplative. Sans même chercher à effacer les traces de son forfait, il faut dire qu’en plus du foutre qui la maculait, elle portait désormais les ...
... empreintes plus durables des coups de griffes de son étreinte sauvage, elle s’est rhabillée avec une vitesse incroyable. Michel était lui encore à demi-nu quand elle lui a adressé un rapide baiser sur la bouche avant de lui dire simplement : — Merci ! Cet épisode n’avait duré que quelques minutes, mais je n’étais pas au bout de mes émotions quand je l’ai découvert à peine une heure plus tard et alors que je regardais par le trou de la serrure sans trop y croire… en train de se faire sucer par une nouvelle « cliente » ! Je me demandais quel nectar elle pourrait bien extraire encore du gland de mon patron lubrique et si elle percevait l’origine de la saveur particulière qui devait encore embaumer sa verge, quand je m’aperçus que cette jeune femme en posture de suppliante n’était autre que la « petite boulangère » si charmante qui nous livre chaque après-midi des viennoiseries pour accompagner le café ! Je pensais en avoir assez vu aujourd’hui et j’ai occupé l’heure suivante à chasser autant que possible toutes ces visions de mon esprit pour retrouver un minimum d’efficacité dans la gestion des dossiers qui se trouvaient sur ma table. Il était six heures quand je suis allée le rejoindre dans son bureau pour lui livrer, malgré tout, les résultats de mon travail. Je comprenais maintenant les raisons de cette odeur saturée qui emplissait la pièce et qui résultait d’un usage de désodorisants plutôt agressifs tout autant que de son propre parfum, lui-même pas très discret. Mon état d’esprit ...