1. Lettres d'une femme mariée - 8


    Datte: 04/02/2018, Catégories: Collègues / Travail nympho, collection, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, confession,

    ... de mon si déroutant patron ? La femme qu’il a reçue en début d’après-midi était une connaissance, et il n’a pas été nécessaire pour eux d’échanger tout d’abord beaucoup de mots. Elle était visiblement venue « pour ça », et il était tout à fait disposé à répondre au mieux à ses espoirs. Je réalisais maintenant, que parmi celles qui pénétraient désormais son bureau avant de se faire elles-mêmes… bref, je m’apercevais que certaines d’entre elles étaient des habituées ! J’ai réalisé également qu’une des raisons du succès remarquable de mon « étalon », n’était pas due qu’à ses talents de séducteurs, dont je venais, la matinée même, d’avoir été témoin, mais également, et peut-être tout autant à ses qualités d’amant ! Les bribes de conversations qui me parvinrent alors, m’apportaient bien des éclaircissements. C’est d’abord elle qui s’exprima. Elle avait d’ailleurs une voix plutôt grave et veloutée, tout à fait troublante : — J’ai parlé de toi à une copine à mon boulot… et j’avoue qu’elle m’a parue très intéressée ! Aussi, je lui ai laissé les coordonnées de ton agence, et cela ne m’étonnerait pas qu’elle imagine une destination bidon pour venir jusqu’à toi ! Elle se mit à rire tout en continuant ce qu’elle avait commencé, c’est à dire se déshabiller intégralement ! Michel faisait de même, soudainement aussi intéressé par la tournure de la conversation que par la superbe silhouette qui s’offrait à sa vue. — Elle est mignonne ? Elle a à peu près ton âge ?— Mon cher ami, ce sont ...
    ... des choses qui ne se demandent pas. Mais je dois tout de même t’avouer qu’elle devrait certainement te plaire… et j’en serais presque jalouse ! Tout en parlant et ne voulant visiblement pas perdre de temps, elle s’approcha de lui qui, comme elle, était resté debout, et prit sa main pour la placer entre ses cuisses afin qu’il la masturbe. — Tu sais, aujourd’hui encore je n’ai pas beaucoup de temps. J’ai juste dit à Alex que j’allais chercher des clopes et acheter le journal… mais quand je suis passée devant chez toi, je n’ai pas pu résister ! Michel ne résistait pas davantage… d’autant plus qu’elle était en train de lui masser la verge et les couilles tout en se trémoussant sous l’effet de la branlette effrénée dont il la gratifiait. Tout s’était passé si vite jusque-là que j’avais à peine pris le temps de détailler sa sculpturale anatomie. C’était une grande et belle créature qui, ayant défait sa coiffure, libéra une somptueuse chevelure blonde qui se répandit comme une vague soyeuse, jusqu’à ses épaules et ses petits seins. Ces derniers étaient vraiment adorables avec leurs mamelons fièrement dressés ! Même pieds nus, elle dépassait son fougueux amant, ce qui facilita la tâche de celui-ci quand elle posa un pied sur le fauteuil, tout en s’y appuyant des deux mains, pour qu’il la trousse sans autre cérémonie. Il ne m’était pas difficile d’imaginer que cette pratique leur était familière quand je vis avec qu’elle aisance il commença à la « pistonner » violemment tout en lui ...
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