Lettres d'une femme mariée - 8
Datte: 04/02/2018,
Catégories:
Collègues / Travail
nympho,
collection,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
confession,
... pourquoi, car jusqu’ici encore je n’avais pas vraiment été profondément troublée par un autre que lui et toi… mais j’ai eu brusquement une envie folle de céder à cette nouvelle demande ! Je lui ai promis, dès cette semaine, que confronté à un client séduisant qui ne me laisserait pas insensible, je tenterais de le séduire et qu’il pourrait à son tour m’observer, pour me voir jouir, peut-être, avec un inconnu ! En attendant, cet autre dans les bras duquel j’ai envie de jouir ce soir, c’est toi, mon petit chéri ! Ta compagne de tous les jours qui t’aime ! Samedi 30 mai J’ai vécu, en attendant, d’autres expériences de voyeurisme que je veux te relater plus brièvement, au risque d’en émousser l’érotisme. Mardi, un peu plus sérieuse à accomplir mon travail, je n’ai cédé à la tentation que deux fois. C’était tout d’abord le matin, en l’espionnant avec une femme qui devait bien avoir la soixantaine mais qui avait surtout l’attrait précieux de posséder une opulente poitrine. Elle a généreusement dévoilée celle-ci pour offrir à Michel une succulente tétée, alors que c’était lui cette fois, qui était assis sur les genoux de cette dame corpulente à l’air autoritaire ! L’après-midi, je l’ai vu baiser en levrette une femme plutôt jolie, qui avait la quarantaine, et qui n’a pas voulu se laisser autrement déshabiller qu’en lui offrant, tout de même, sa petite culotte. Les bribes de conversations que j’ai pu entendre m’ont fait découvrir qu’il s’agissait de la collègue qui, sur les ...
... conseils de son amie, n’avait donc patienté qu’un jour avant de venir évaluer les performances de ce si serviable commerçant ! Hier, les bruits d’à côté m’ont distraite par trois fois. La première fois, c’était pour le voir à quatre pattes, se faire chevaucher de façon incongrue par une partenaire que j’imaginais régulière et qui n’avait, curieusement, gardé sur elle que ses bottines et son soutien-gorge. Elle semblait apprécier particulièrement l’effet que produisait le frottement de ses parties intimes sur les reins de Michel, qu’elle remercia une fois l’extase atteinte, en lui branlant la verge, vautrée sur lui, telle une amazone repue. La seconde fois, je le vis debout, adossé à la fenêtre, qui tenait à bout de bras une femme menue, jolie comme une poupée et à qui, par sa seule force, il arrivait à imprimer un mouvement ample et de plus en plus rapide, comme s’il se masturbait de tout son corps à l’aide d’un jouet exquis à l’expressivité éloquente ! La troisième fois, il m’apparut dans une posture plus conventionnelle et plus sage. Puisqu’il se retrouvait une fois encore à son fauteuil, simplement à embrasser et peloter une jolie jeune femme un peu ronde. Ce que je ne vis qu’après, c’est que pendant ce temps, une autre qui aurait pu être sa sœur tant elle lui ressemblait, à ses pieds, concentrait ses ardeurs en flattant de sa langue son gland décalotté. Aujourd’hui même, je l’ai surpris encore, sans avoir à trop attendre, en une posture compromettante si un conjoint avait dû ...