1. Lettres d'une femme mariée - 8


    Datte: 04/02/2018, Catégories: Collègues / Travail nympho, collection, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, confession,

    ... passer par là. Il était avec une connaissance, que je ne m’attendais pas à voir revenir si tôt. La femme au crucifix ! Celle-ci, toujours aussi passionnée par les étreintes rédemptrices et douloureuses, le suppliait qu’il lui « mâchouille » le bout de ses petits seins, parce qu’elle voulait « jouir et souffrir » par lui ! Il y avait quelque chose de troublant à la voir empalée sur lui, en position extatique, sa petite poitrine offerte à ses mastications voraces, bondir au-dessus de son ventre et se trémousser tout en le suppliant de ne pas s’arrêter ! Quand elle parut au sommet de la jouissance, elle s’est précipitée sur ses lèvres pour le mordre avec sauvagerie. Une petite goutte de sang est venue alors perler au coin de la bouche de Michel. C’est la première fois que stupidement, j’aurais aimé intervenir, pour arrêter cette folle qui était en train de faire du mal à mon chéri, mais il lui a parlé d’une façon si douce, apparemment assouvi : — Je ne sais pas si c’était bien pour toi, mon petit amour, mais moi j’ai adoré ! Ensuite, il l’a prise dans ses bras. J’étais étonnée de la familiarité bienveillante qui les unissait déjà, plus encore que de leur complicité sexuelle ! Je me suis refusée par la suite, à trop dépendre aujourd’hui, de ce qui j’imaginais se passer de l’autre côté de la porte. J’étais plutôt satisfaite de me rendre compte que ma volonté pouvait encore agir sur cette part nouvelle de notre relation. Et puis, un autre projet commençait à occuper mon esprit. ...
    ... Il me fallait rapidement trouver une victime consentante… et la séduire, pour l’attirer avec mes propres armes dans mon bureau. Et je me retrouvais un peu comme une élève modèle qui aurait voulu imiter son maître ! Je t’embrasse avec la même vigueur que mon amant chéri… avec ma petite langue qui vient se fourrer entre tes lèvres. Lundi 1er juin Aujourd’hui, j’ai donc observé les hommes comme je ne l’avais jamais fait jusqu’ici. Ils arrivent malheureusement à l’agence souvent accompagnés par celle qui peut être leur femme ou leur maîtresse. J’avoue que, maintenant que je m’en sens la permission, j’éprouve « quelque chose », à scruter discrètement ce que j’entrevois de leur anatomie. Ce qui m’est plus facile quand ils s’entretiennent avec Muriel ou Andrew. Je dois aussi admettre que j’ai même regardé ce dernier d’un œil différent. Mais il est bien sûr évident pour moi, qu’il est hors de question d’aller plus loin avec lui. C’est une satisfaction féminine purement platonique puisque j’en sais la concrétisation impossible. Et puis je ne dois pas me détourner de l’essentiel : la recherche d’un partenaire qui voudrait bien me prendre ! C’est vrai que mon désir résulte, en grande partie, de l’attirance physique que j’éprouve pour un homme. Mais ce qui me trouble bien davantage qu’une anatomie que je devine flatteuse, c’est la profondeur d’un regard en ce qu’elle porte en elle de promesses. Lorsqu’ils me regardent, certains hommes semblent m’envelopper de toute leur attention et ...
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