1. Lettres d'une femme mariée - 8


    Datte: 04/02/2018, Catégories: Collègues / Travail nympho, collection, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, confession,

    ... un premier temps, je ne voyais pas d’issue possible… Ainsi, ce jeune marié qui s’est d’abord entretenu avec son épouse au guichet d’Andrew et qui m’adressait des coups d’œil réguliers. Lorsque je les ai reçus finalement à mon bureau pour finaliser leur dossier, j’étais flattée mais aussi en partie gênée par ses regard particulièrement appuyés qui, tour à tour, parcouraient mon visage ou scrutaient ma poitrine avec cette troublante sensation de me dénuder. Il y a eu ensuite cet autre jeune homme au beau visage, à la timidité évidente, mais qui avait tout de même l’audace de m’adresser de réguliers coups d’œil alors qu’il s’entretenait avec Muriel. Cela a évidemment comblé mon orgueil, de voir qu’il pouvait s’intéresser d’avantage à moi qu’à la charmante hôtesse qui lui faisait face, et j’avais moi-même du mal à détacher mon regard du sien, alors que j’avais face à moi une femme agaçante d’indécision. J’ai juste pu conclure de son intérêt particulier, avant qu’il ne disparaisse, qu’il était davantage porté sur les femmes plus mûres. Et puis il y a eu aussi ce vieux monsieur, envers qui je n’aurais pas même envisagé une conclusion sexuelle et dont j’ai soupçonné que nos regards échangés, alors qu’une fois encore nous étions chacun occupé à discuter avec un autre interlocuteur, étaient davantage de l’ordre de la satisfaction esthétique. J’ai dû finalement changer d’avis, quand j’ai vu à quel point il semblait également attentif à mes cuisses largement découvertes dans cette ...
    ... position et qu’il pouvait observer à loisir d’où il était. Je m’étais rendue compte ainsi, d’abord sans le vouloir, puis par jeu je l’admets, que le mouvement lent de croisement et de décroisement de mes jambes sous la table avait l’air de l’émouvoir. Et puis il y a eu lui. J’ai remarqué qu’il était un peu plus jeune que moi, sans doute dans la trentaine. Quand ses yeux clairs ont croisés les miens, je me suis tout de suite dit qu’il fallait que je fasse quelque chose. Ce n’était pas de l’ordre du coup de foudre, puisque la pensée de Michel ne me quittait vraiment pas avec cette volonté de lui faire plaisir, mais nos regards se sont accrochés comme l’expression d’une certitude : il fallait absolument nous revoir ! Bien sûr, pour compliquer le tout, lui aussi était accompagné d’une femme qui semblait plus jeune que lui, et qui par chance semblait vraiment concentrée sur les offres que lui présentait Andrew. Mon « bel homme », puisque je peux en parler ainsi, avec son physique d’athlète musclé et plus grand que toi, tournait sa tête vers moi, sans trop craindre visiblement d’être repéré. Notre audace à nous regarder dans ce lieu public avec tant d’insistance était telle que le couple avec lequel je conversais n’a pu, lui, que s’en rendre compte, de même qu’Andrew. Au bout d’un certain temps, je me suis dit qu’il fallait absolument que j’agisse, que je trouve un prétexte pour me rapprocher de lui physiquement jusqu’à sentir son odeur, jusqu’à sentir cette douce caresse plus proche de ...