Allyson Redfox ... une Américaine à Pigalle
Datte: 04/02/2018,
Catégories:
ff,
frousses,
rousseurs,
boitenuit,
Collègues / Travail
collection,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Masturbation
jeu,
init,
... chair, est collé à sa vulve et en dessine vaguement les contours. Lascivement, Allyson une main au-dessus de la tête, caresse avec son autre main l’intérieur de ses cuisses, son mont de Vénus, son ventre, passe sur son sexe deux ou trois doigts qui se veulent explorateurs, aguicheurs, excitateurs … et les quelques spectateurs qui sont au premier plan, à moins d’un mètre tournent au rouge de congestion, ont le souffle coupé, les yeux exorbités. Ils suivent les doigts et la main de la jeune strip-teaseuse. D’un mouvement régulier des pieds, elle se déplace autours de la barre, pour permettre à tout un chacun de se rincer l’œil, de fantasmer à volonté … Elle regarde les consommateur droit dans les yeux, souriante, passant de temps en temps une langue rose, pointue et gourmande sur ses lèvres pulpeuses et rehaussée d’un rouge violent. Selon son désir, la main remonte sur sa poitrine, passe sous ses seins, remonte vers son mamelon qu’elle va titiller au plus grand plaisir de ses admirateurs d’un soir. Quelques poignées de billets se sont encore tendues vers la jeune danseuse qui les attrape au passage, tandis que les lumières vont en s’amenuisant, Allyson se redresse pour disparaître rapidement dans les coulisses. Son numéro est terminé. A la fois frustré par le spectacle, mais qu’attendre de plus qu’un effeuillage en règle dans ce type de Cabaret, je m’éclipse discrètement pour essayer de rencontrer la jeune femme. Allyson est sortie, quelques minutes après, par la porte de ...
... service. Elle a juste pris le temps de se rhabiller, d’ajuster son ciré noir et de partager la recette du soir avec Serge, le chef de plateau. Enfin, quand on parle de partage, elle a prélevé les 15% qui lui reviennent et a conservé les billets d’après la chute de son dernier "vêtement". Tel est à la fois la tradition et la règle dans le monde des gogos danseuses. Lorsque je l’aborde, elle ne parait ni surprise ni effarouchée. Elle m’écoute, patiemment et me propose d’aller boire un café, au chaud. En fait, elle me prend surtout pour un dragueur (mais ça, maintenant, j’en ai l’habitude) et malgré ça, nous nous retrouvons assis à une table de bistrot. Elle a un accent Yankee, charmant, à couper au couteau, qui évoque dans ces expressions Jane Birkin, mais son français est mâtiné d’expressions très parisiennes. — Excuses-moi, je n’ai pas bien compris. Tu veux que te parles de mon job ? C’est ça !— Non, pas réellement de ton travail.— Alors, quoi ? Et me revoilà parti dans mes explications sur mon travail, mes reportages … et gnagna …et gnagna … — Ah ! Ouais ! Je comprends … mais c’est vachement … intime …— Assez …— Et tu veux publier … mon intime ? …— Oui, si tu acceptes ! Allyson se tait. Elle penche doucement la tête sur le côté et me fixe droit dans les yeux. Que recherche-t-elle ? La confiance ? La crédibilité de mon histoire ? Une échappatoire ? Au bout de quelques minutes, en triturant un morceau de sucre sortit de son emballage, et sans me regarder, elle ajoute : — Ouais … ...