1. Allyson Redfox ... une Américaine à Pigalle


    Datte: 04/02/2018, Catégories: ff, frousses, rousseurs, boitenuit, Collègues / Travail collection, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation jeu, init,

    ... l’un dans l’autre, tête bêche. Allyson se laisse déshabillé de son string, laissant ainsi apparaître une légère touffe de poils roux, clairsemée. Dans une reptation alanguie, les deux femmes roulent l’une sur l’autre, dans un corps à corps infernal qui émoustille les spectateurs que nous sommes. Les jambes légèrement ouvertes, tendues ou pliées, les têtes enfouies dans l’entrecuisse de chacune, les poitrines sur les hanches qui se frôlent, se cherchent, s’émoustillent, les deux jeunes femmes se donnent à boire mutuellement la liqueur de leur intimité. Dans le silence total et presque oppressant qui règne dans la salle, on entend le bruit indiscret des langues qui lèchent, fouillent, cherchent, sucent, mouillent leurs intimités. On entend aussi les soupirs et les petits cris, refrénés des deux femmes qui se donnent du plaisir et sont entrain de se faire jouir sur la scène… Puis la position des corps change de nouveau … Les jambes s’entrecroisent, les sexes se touchent, s’éloignent et se touchent de nouveau dans un mouvement énamouré et ondulatoire des bassins. Les quelques poils sont en contact les uns des autres, ils semblent se tisser, les uns dans les autres. Les sexes se rencontrent, les lèvres s’écrasent, se frictionnent les unes aux autres. Les soupirs sont plus forts, les poitrines se soulèvent, plus vite, plus fort. Les bustes, tendus par la position, le désir et le plaisir pointent au-dessus des filles. Les ventres se creusent, les reins bougent, lentement, ...
    ... doucement, évoquant le coït, la pénétration des corps, le va-et-vient d’un membre érigé et actif … les corps se tendent, les têtes se renversent, en même temps et dans un mouvement harmonieux et symétrique … la lumière s’éteint. Durant quelques secondes, le noir se fait … le silence devient encore plus lourd. Dans la persistance rétinienne reste le mouvement des corps des deux femmes qui s’étreignent sur la scène. Enfin, trouant le silence, rompant le charme, un puis deux, puis trois, puis quatre applaudissements auxquels je joins les miens, trouent le noir de la salle, tandis que la lumière jaunâtre du début, y remet un semblant de vie. Sur la scène, les deux filles, nues, encore allongées, reprennent leur souffle, largement étalées et ouvertes sur le plancher. — Super ! Les filles … c’était super ! dit un des costumes-rayés-chemises-noires-cravates-claires.— Ouais … Vous me faîtes la même prestation deux fois par soirée … Avec cette qualité et je vous engage tout de suite … Allyson se redresse et cherche des yeux de quoi couvrir sa nudité. La blonde, ne bouge toujours pas, laissant largement exposée son intimité à la vue des deux hommes qui la fixe intensément du regard. Ce n’est que lorsque le grand noir, celui qui m’a barré l’entrée, s’amène, les bras chargé de peignoir qu’il tend aux filles, que la blonde se décide enfin à bouger. Elles s’en emparent et disparaissent vers les coulisses, sans un regard vers nous. J’attends Allyson depuis plus de vingt minutes devant le Cabaret. ...
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